| Chapitre 2 A - K ( Symbolisme ) | 
  
| alma mater
  – l’Éternel fÉminin | Myriam philibert | Edition
  ARQA |  2006 | |||
| 
 
 
 Au sommaire de cet ouvrage on y trouve : Déméter et son mythe grec   -   le
  Principe   -   la Terre et la Mère   
  -   Céleste, la Vierge cosmique   
  -      Exubérante, la puissance
  végétale    -       l’Éternel
  Féminin    -        Le
  retour de la Déesse     -    
   | ||||||
2 B
| B.A. – ba des fÉes  | A.L.
  d’apremont  | Edition
  PARDES |  2001 | ||
| 
 Si
  les fées demeurent dans le monde subtil, elles agissent pourtant sur notre
  environnement immédiat. Hier, nos ancêtres le savaient, et ils les
  honoraient. Aujourd’hui, elles font partie intégrante du ré enchantement du
  multivers et de la redécouverte de la sacralité. 
 | |||||
| B.A. ELFES, FÉES, et GNOMES | Johfra - Carjan et Ellen Lorien | Edition Amrita | 1989 | 
| Les
  Elfes, les Fées, les Gnomes, autant de petits êtres que nous avons
  soigneusement rangés dans nos mémoires d’enfant, parmi les rayonnages de nos
  bibliothèques de contes de Fées… Pour certains d’entre nous, supra-sensible,
  les forces de la Nature qu’ils incarnent ont pourtant une parfaite réalité. Écoutons-les :
  « Aujourd’hui, nous les elfes, aimerions vous parler un
  peu de nous et de notre monde, ce monde tout aussi réel que le vôtre mais
  qui, pour tant d’humain, n’a pas d’autre réalité que celle des contes de
  fées. Il y eut pourtant, autrefois, un temps où nos deux peuples, le vôtre et
  le nôtre, étaient proches l’un de l’autre, un temps où les hommes ne nous
  avaient rangés sur les rayonnages poussiéreux, un temps où ils connaissaient
  nos activités, notre joie, notre gaité. Nous formions une grande famille,
  très diversifiée. La terre, l’eau, l’air et le feu sont nos demeures. Oui
  nous pouvons dire que nous sommes l’essence même de ces éléments. C’est pour
  cette raison que nos corps prennent des aspects très divers dès que nous
  voulons nous manifester. C’est pour cela aussi que les hommes nous ont donné
  des noms différents. Savez- vous que votre corps contient l’énergie de ces quatre
  éléments ? Pour nous, nous ne sommes qu’un seul élément à la fois, et
  nous formons ainsi ce que vous appelez les Elémentals, et qui représente
  l’ensemble de la Nature. Jadis, les hommes savaient ce que nous faisions pour
  eux, à travers la Nature et prenaient garde à ne pas détruire notre travail.
  Hélas, de nos jours, il semble que beaucoup d’entre vous aient complètement
  perdu le contact conscient avec leur source de vie : la Nature, la
  Terre. L’homme se détruit lui-même, parce qu’il se pense en termes de
  séparation, il se croit seul, isolé. Comment peut-on ignorer que le souffle du
  vent, c’est vous, vous encore chacun des rayons que le soleil vous envoie,
  que vous êtes issus de l’eau et qu’elle relie tous vos tissus, que vous ne
  pouvez vivre sans l’air que vous respirez ? Comment pouvez-vous être
  assez obtus pour ignorer que lorsqu’un être souffre ou se réjouit, la
  conscience tout entière de la Terre partage sa souffrance ou sa
  joie ?  La matière dans laquelle nous pouvons nous manifester
  s’appelle L’éther, et si vous lisez ces lignes c’est parce que vous savez
  bien que tout, dans l’Univers est vibration. Matière, chaleur, son, lumière,
  rayons ultra-violets, rayon X, âmes, esprits, tout est vibration sur une
  certaine longueur d’onde. L’éther qui nous donne vie est un monde dans lequel
  les manifestations vibrent sur une fréquence qui n’est pas, en général
  visible, audible, palpable pour le sens des hommes ». Tel est le message et le constat que nous donnent ces êtres
  invisibles mais présents. Des aquarelles superbes de Johfra (auteur par ailleurs des 12 signes du Zodiaque), ainsi que de Ellen Lorien et de Carjan. | |||
| BOUGIES - RItuels
  pratiques  ET
  COULEURS deS bougies | Raymond
  BUCKLAND | Edition 
  Ramuel |  1996 | ||
| 
 Cependant, si vous ne
  possédez aucune d’entre elles, utilisez de l’huile d’olive pure. Vous pouvez expérimenter
  par vous-même en ajoutant à cette huile des herbes aromatiques, ainsi qu’un
  peu de résine de benjoin afin qu’elle ne rancisse pas. De toute façon, le but
  principal de l’huile d’onction est simplement d’imprégner vos pensées dans la
  bougie, afin, pour ainsi dire, la consacrer à des fins particulières. Depuis
  des temps immémoriaux, les magiciens ont utilisé l’huile d’onction lors des
  cérémonies de consécration. Avant de commencer votre rituel, ayez clairement
  à l’esprit votre souhait, puis écrivez-le sur un bout de papier neuf. Vous
  mettrez ce bout de papier sous le bougeoir dans lequel vous ferez brûler
  votre bougie. Comme pour tout autre objet magique, le bougeoir que vous
  utiliserez devra être conservé uniquement pour la pratique rituelle et non
  pour un usage commun. Si vous achetez un bougeoir ancien pour les cérémonies
  magiques, alors nettoyez-le minutieusement avant de l’utiliser, pour le
  débarrasser d’autres influences qui pourraient rester en lui. Toute autre
  source lumineuse dans la pièce où vous travaillerez devra être baissée et
  suffisamment tamisée. Prenez ensuite un peu d’huile d’onction sur vos doigts
  et frottez doucement la bougie en vous concentrant sur l’idée d’imprégner
  cette dernière de vos pensées et souhaits. Mais ne la frottez pas simplement
  de haut en bas ; commencez par le centre, frottez du centre vers le haut,
  puis du centre vers le bas. Placez ensuite la bougie dans son bougeoir,
  essuyez le surplus d’huile de vos doigts à l’aide d’un morceau de lin propre
  ou d’un mouchoir en papier – ce dernier est bien entendu une invention
  moderne, mais fort utile. Puis allumez la
  bougie et concentrez-vous calmement sur votre souhait. Avant tout, visualisez
  la chose que vous souhaitez voir se réaliser, car si vous êtes capable de
  produire une image mentale claire de ce souhait et de la maintenir à
  l’esprit, même si ce n’est que pour quelques secondes, sans doutes, sans
  peurs, ni pensées perturbatrices, l’effet magique sera puissant. Visualisez
  votre souhait de manière symbolique, si vous préférez, aussi longtemps que
  l’image reste claire. La bougie qui brûle fournit le point focal pour votre
  concentration ; mais il n’est pas nécessaire de regarder fixement la partie
  la plus lumineuse de la flamme, car cela pourrait fatiguer vos yeux. Au lieu
  de cela, regardez la lueur dorée de la bougie dans son ensemble, et prenez
  note de ses différentes couleurs. Ou bien, si vous souhaitez reposer vos yeux
  de cette luminosité, regardez la couleur de la bougie elle-même,
  remémorez-vous sa signification symbolique. Diverses
  thèses plus ou moins mystiques sont évoquées à propos de flammes et de
  bougies. Ainsi, l'allumage d'une bougie à une autre bougie évoque pour
  certains la transmigration de l'âme d'un corps à un autre. Dans cette image,
  la flamme reste toujours identique à elle-même lorsqu'elle voyage de bougies
  en bougies. L'analogie avec la réincarnation supposerait donc que l'esprit ne
  progresse pas au fil des incarnations ! 
 Le
  logos serait l'intelligence universelle et éternelle qui gouverne le monde. A
  l'origine de tout, elle est cette Unité qui est sensée avoir donné naissance
  au monde en se divisant elle-même. Une unité qui se multiplie en se divisant. Voici une liste des
  couleurs pour les bougies que l’on peut trouver dans tous les grands
  magasins, avec leur signification et leur pertinence pour chaque rite : Blanc : développement psychique, dissiper les influences
  négatives. Rouge : vie, vitalité, faire tourner la chance à son avantage. Bleu
  : guérison, développement spirituel, protection occulte. Vert
  : fertilité, prospérité, gain d’argent. Jaune doré : développement intellectuel, force de l’esprit. Rose : amour, amitié, bonheur. Violet : pouvoir occulte, triompher. Orange : optimisme, succès. Noir
  : revanche,
  vengeance ; mais aussi, communion avec l’esprit des défunts. Brûler des bâtons
  d’encens de bonne qualité favorise l’atmosphère de tout rituel occulte ;
  ainsi employez-en un peu lors de vos rituels destinés à la magie des bougies
  si possible. La meilleure façon de brûler les bâtons d’encens est celle qui
  se pratique en Orient, là d’où ils proviennent ; pour cela, procurez-vous un
  bol en métal ou en terre, remplissez-le aux trois quarts de sable et piquez-y
  bien droits ces bâtons d’encens. Ainsi, ils ne se renverseront pas et leurs
  cendres non plus. Lorsque vous sentez que vous vous êtes concentré assez
  longtemps, prenez le bout de papier où vous avez inscrit votre souhait et
  brûlez-le dans la flamme de la bougie, en ayant à l’esprit que vous êtes en
  train de projeter votre vœu dans l’Autre-Monde pour qu’il puisse s’accomplir.
  Mouchez la bougie et si elle n’est pas entièrement consommée, vous pouvez
  l’envelopper dans un morceau de papier propre pour une utilisation
  ultérieure. Souvenez-vous cependant que vous pourrez l’utiliser uniquement
  pour retravailler sur le même souhait. Pour un vœu différent, vous devrez
  employer une nouvelle bougie.  | |||||
| BOUGIES - LE GRAND LIVRE DES BOUGIES ET DES
  CHANDELLES | J-L Caradeau | Edition Trajectoire | 2001  | ||
| 
 Voilà un aspect important des bougies, leurs
  couleurs et les effets qu'elles apportent, par contre il ne s'agit là que
  d'une infime partie de leurs caractéristiques et de leur complexité. Avec le
  temps, les bougies ont gagné des tailles diverses, des couleurs différentes,
  mais aussi une grande hausse de production ainsi qu'une multitude de forme et
  de matériaux. Mais il faut noter que chacune est dédiée à une utilisation
  magique précise. Les bougies sur les tablettes des magasins sont d'une bonne
  qualité, mais ne valent pas celles que vous pourriez produire de vos mains.
  Et ce pour plusieurs raisons, mais entre autre parce qu'elles sont imprégnées
  de vos propres intentions et de votre énergie. L'usage des bougies est ancestral et quasiment
  universel. La bougie est un lien entre le monde réel et l'astral. Elle est
  porteuse de la flamme! La flamme est le symbole de l'Âme, de la purification
  et de l'Amour du créateur. Elle brille de façon identique dans l'astral que
  dans le monde physique. Elle est donc une sorte de phare, de repère pour les
  énergies, les esprits.....Très utilisée en magie, elle permet "d'ouvrir
  une porte" entre les différents mondes. Etablir un contact,  avec
  une Force Supérieure, une Energie ....appelez cela comme vous voulez,
  Bouddha, Dieu, Allah. C’est aussi un excellent condensateur fluidique, de par
  sa cire, qui selon sa couleur, condensera l'énergie correspondante. La bougie blanche peut être utilisée pour toutes les opérations
  en tant que bougie neutre.....Dans une église, n'allumez jamais votre bougie
  à la flamme d'une bougie déjà allumée....Servez-vous de vos propres
  allumettes, sinon vous rejoignez et amplifiez la demande de l'autre personne
  et non la vôtre! Vous entrez en contact avec les Forces supérieures, et ce
  geste n'est jamais anodin, c'est une prière que vous adressez, quelque soit celui à qui vous l'adressez. Une bougie
  "parfumée" vous sera d'une précieuse aide dans les moments de
  méditation, de concentration, de relaxation.... La magie populaire nous enseigne qu'allumer une bougie lors de
  la naissance d'un enfant est une manière de protéger celui-ci contre les
  esprits du mal. En Angleterre, dans la région du Lancashire, réputée pour ses
  sorcières, on allume des bougies la veille de la Toussaint pour lutter contre
  les maléfices des sorcières. Si la bougie s'éteint, on peut redouter le
  pire...mais si la bougie continue de brûler jusqu'à minuit et plus, la magie
  noire sera tenue en échec....  | |||||
| BIBLE DES FÉES | Teresa Moorey | Edition Trédaniel | 2010 | 
| Bienvenue dans le monde magique des fées. Des descriptions détaillées et de belles illustrations vous présentent plus d’une centaine de fées. Il y est question de celles qui habitent les fleurs, les arbres, jusqu’aux sirènes, farfadets et feux follets, et bien d’autres. En nous permettant d’accéder au royaume des fées, l’auteur nous initie aux coutumes, traditions et langages de ce monde enchanteur. Et si par extraordinaire, au hasard des pages, vous découvrez les endroits propices à leur rencontre… Riche en conseils et explications minutieuses, cet ouvrage vous permettra de choisir les charmes et les méditations appropriés pour attirer près de vous ces créatures fugaces, qui vous apporteront chance, amour et réussite… Un livre plein de poésie, de réflexions et de bons conseils pour pouvoir se connecter à la fée de son choix et pouvoir l’attirer dans un dialogue dont sortira, apaisement, joie, bonheur et énergie positive. | |||
| BLÉ,   VIN,  
  PAIN,   HUILE,  
  SEL,   ENCENS,   CONSÉCRATION | DIVERS 
  AUTEURS | ARCADIA |  2005 | 
| Un
  dossier très important sur diverses symboliques, dont celle d’une
  consécration de loge. Des articles magnifiques sur ces sujets, par Michel Viot,
  Pierre Benzaquen, J.M Couvert, Jean Lalande, ou S. Fischer-Rizzi.  Cette
  consécration de loge a été très bien décrite  dans un livre de Jean-Luc
  Leguay, avec des enluminures superbes (voir Chapitre 1)  Cinq
  ingrédients vont servir pour cette consécration, quant au pain, il est
  omniprésent dans les cérémonies de la cène ou de l’agape. Tous ces
  ingrédients sont ici étudiés à travers  plusieurs grilles de
  lecture : littérale, symbolique, philosophique, religieuse,
  anagogique et métaphysique.  Le  Blé : Il sert à la
  fabrication du pain, aliment essentiel. Dans le rituel de consécration le blé
  est synonyme de fécondité et d’abondance, c’est le 1e voyage,
  que font les officiers consacrants et c’est le Grand Maître qui le répand.
  Dans les mystères d’Eleusis, le grain de blé est symbole de vie et de mort,
  il meurt en automne et renaît au printemps, c’est l’alternance des saisons,
  la fécondité, un don de Dieu et les mystères de la vie. Le Pain : Aliment de base depuis que l’homme à découvert
  l’agriculture. Les grecs furent les pionniers et les grands spécialistes dans
  l’art d’inventer des diversités de pains, mais ce sont les hébreux qui
  trouvèrent la recette du levain, bien que l’Eternel ordonna à Moïse pendant
  la Pâque, de manger des azymes, pain sans levain, mince et léger. Autrefois,
  dans le bassin méditerranéen, les pains avaient la forme d’une boule, appelée
  boulens, par la suite au XVe siècle cette boulens donna le nom
  de boulanger. Jésus développa la symbolique du pain, que ce soit avec
  la multiplication des petits pains, ou avec la Cène. Bethléem signifie
  « La maison du pain ». Le pain est symbole de
  fraternité, d’amitié et de partage spirituel dans les voies initiatiques. Sur
  le plan religieux, la communion avec l’hostie, représente le grand mystère de
  la « transsubstantiation ». L’huile : 3e voyage des consacrants, le
  2e GSC verse de l’huile en disant : Je donne à cette loge l’onction
  d’huile, comme symbole de Paix et de Concorde. Cette symbolique nous relie
  aux investitures et consécrations des Prêtres et des Rois. Cette huile ou
  Saint- Chrême apportée par la colombe pour le baptême de Clovis, et qui par
  la suite servira pour toutes les royautés et le clergé. Souvent les huiles
  sont mélangées avec du miel, du poivre ou du lys. L’huile d’olive étant
  presque divinisée dans tout le bassin méditerranéen, que ce soit pour la
  cuisine, pour des onctions, ou des onguents. Les huiles essentielles font un
  retour en force, dans diverses pratiques culinaires ou de pharmacopée. L’oint du Seigneur, vient du mot
  hébreu : Messie, qui en grec
  se dit Christos, et si Jésus n’a
  pas reçu une onction d’huile matérielle, la descente du Saint-Esprit sur sa
  tête fait office d’onction spirituelle. Le Vin : 2e voyage des consacrants. Le
  1e GSC verse du vin et dit : Je verse du vin dans cette
  loge, en signe de joie et d’allégresse, puisse le bonheur envahir le cœur de
  tous les frères. Le vin nous ramène à Noé, qui eut quelques petits
  problèmes avec la vigne, à Dionysos, dieu du vin et des fêtes, à Jésus qui
  dit : je suis le cep, vous êtes les sarments, aux noces de cana, et la
  transformation de l’eau en vin, il est représentatif de l’amour, de
  l’immortalité,  même le cantique des cantiques fait l’éloge du vin,
  alors que l’islam interprète l’interdiction de boire du vin, les soufis au
  contraire prônent sa boisson et disent être des échansons, à la recherche de
  l’ivresse mystique. Le graal, et les mystères du moyen-âge encensaient le
  vin. Le Sel : 4e voyage des consacrants. Le
  GMC verse du sel en disant : Je répands du sel dans cette loge pour
  symboliser l’hospitalité et l’amitié. Puissent la prospérité et le bonheur
  régner dans cette loge. Symbole avec le pain de partage et d’hospitalité,
  il est dit : tu mettras du sel sur toutes
  tes offrandes, signe d’alliance de ton Dieu. Sel purificateur, il
  chasse les démons ou énergies vibratoires néfastes et nuisibles, au Japon les
  Sumo lancent du sel à l’intérieur du cercle sacré, en guise de protection
  divine. Il a tout au long de l’histoire, servi de monnaie, il était
  d’ailleurs assez lourdement taxé (gabelle).Comme tous les symboles, il a
  aussi son contraire et le sel peut éroder et détruire  les hommes, et
  les éléments matériels. L’Encens : 5e voyage : Le Chapelain
  ou l’Hospitalier consacrant, va alors entreprendre, sous la forme de 3
  voyages, des encensements rituels comme action de purification.
  L’encens symbolise le parfum céleste de la
  sainteté et rappelle la fumée émanant des sacrifices accomplis sur
  l’autel du Temple. Les cultures anciennes employaient l’encens comme moyen
  d’entrer en contact avec les forces subtiles de la nature, d’en recevoir les
  messages et de mieux comprendre les liens qui la régissent. Les asiatiques et
  les animistes brulent de l’encens en permanence, c’est dans leur culture et
  leur tradition, ce sont des marques de prières,
  d’émanation de l’esprit divin, de purifications,
  et une façon d’enlever les charges négatives
  de son environnement.  L’encens
  favorise la concentration, la spiritualité, et
  notre évolution intérieure.
  L’encens se pratique en bâtonnets, en poudre ou en grains sur des charbons,
  de très nombreux encens sont à notre disposition, les plus connus étant l’hindou,
  le japonais, le tibétain et les gommes arabiques pour les poudres et grains. | |||
| brÉve Étude sur les trois piliers  | Marcel
  spaeth | Edition  Détrad |  1993 | 
| On
  ne parle pas souvent des trois piliers, ainsi cette plaquette nous rappelle
  leur symbolisme, et nous propose une méditation sur la valeur ésotérique de
  notre initiation. 3
  vertus cardinales sont attachées à ces piliers et ces vertus cardinales
  peuvent s’emboiter dans les vertus théologales, ainsi la Force s’épanouira
  dans la l’espérance, la sagesse dans la foi et la beauté dans la charité. Au sommaire de cette étude : Les trois piliers   -   les piliers et les
  colonnes   -   le Temple   -   piliers
  et chandeliers  -   position des piliers  
  -   le nom des piliers   -   similitudes avec
  les deux colonnes   -   l’arbre de vie  
  -   les vertus    - | |||
2 C
| caducÉe – ÉpÉe – lance – ÉpḖe
  flamboyante – bouclier – hache – double hache – GLAIVE - | Divers
  Auteurs | ARCADIA |  2004 | ||
| 
 Cependant vers le XVIe siècle, une confusion
  est apparue avec le bâton d'Esculape (qui est aussi un caducée), et peu à
  peu, ce caducée a quitté le domaine militaire auquel il avait été d’abord
  cantonné comme symbole de la paix, et il est devenu l'emblème de la
  profession médicale dans de nombreux pays. La légende rapporte qu'un jour,
  Asclépios, voyant un serpent se diriger vers lui, il tendit son bâton dans sa
  direction. L'animal s'y enroula. Asclépios frappa le sol et tua la bête. Un
  second serpent apparut soudain, tenant dans sa bouche, une herbe mystérieuse
  avec laquelle il rappela à la vie l'autre reptile. Asclépios eut alors la
  révélation de la vertu médicinale des herbes. L'emblème d'Asclépios est un
  bâton court le long duquel s'enroule un serpent. À l'origine, dans la
  mythologie grecque, il est l'attribut du dieu Apollon qui l'offre à son fils
  Asclépios, dieu de la médecine. 
 La hache et
  la double-hache, symbolise l’arme d’ouverture
  (ouverture du cerveau de Zeus, qui ainsi donne passage également de la foudre
  et de la pluie, arme fécondante et de rétractation qui donne ainsi passage à
  Athéna / Pallas, déesse de la sagesse, symbole également de la foudre et de
  la pluie, arme fécondantes et de rétraction spirituelle. La double hache
  fait partie des grands symboles spirituels de l’humanité. Les plus anciennes
  représentations connues ont été découvertes sur le site d’Arpachaiya, près de
  Mossoul en Irak dans les niveaux de la culture mésopotamienne dite
  « halafienne » qui remonte au 5ème, 4ème millénaire avant notre
  ère. Des doubles haches soit en miniature soit représentées sur des vases ont
  été inventoriées. Nous savons que l’époux de la grande déesse D’Arinna, la
  déesse du soleil, est le dieu de l’orage appelé Tarhund chez les Hittites,
  Datta chez les Louvites ; il est le même que le Tesub (Tchou) des
  Hourrites. Ces divinités souvent debout sur un taureau brandissent à la main
  une double hache, elles s’en servent pour fracasser les nuages, déclenchant
  les orages qui provoquent la pluie indispensable aux cultures et aux
  pâturages. C’est une figure semblable de dieu de l’orage qui est devenu le
  Zeus Stratios de Labranda dont la double hache est le symbole. C’est aussi
  l’emblème d’Haddad dieu Sémite de la foudre ouvrant avec sa double hache les
  réservoirs du firmament pour faire tomber la pluie en fendant les arbres
  géants de la forêt. Dans ces régions la double hache est toujours le symbole
  de l’éclair 1 du feu donc de la lumière mais aussi de la fertilité. Restons sur les rives de la Méditerranée en Phénicie c’est-à-dire le Liban actuel et suivons Zeus transformé en taureau enlevant Europe fille d’Agénor roi de Phénicie. Nous arrivons vite sur la plage d’une baie naturelle en Crête, Matala où il est toujours agréable un soir d’été assis dans un des restaurants bâtis sur pilotis, d’admirer le soleil avalé par la mer de Lybie tout en sirotant un Ouzo avec quelques tranches de concombre-salé de la féta et quelques olives. La falaise côté nord ressemble à un gruyère, les romains creusèrent la falaise pour en faire un cimetière et sur le côté sud on peut toujours deviner un port. Nous sommes sur l’un des trois ports de Phaïtos situé à quelques kilomètres de là. Cet immense temple palais domine la riche plaine de la Messana, avec ses oliviers, citronniers, orangers, qu’arrose le Ieropatomus (le fleuve sacré) que l’on peut voir des terrasses du palais. Des dizaines de signes mystérieux dont la double hache sont gravés sur les murs de ce palais. Ces inscriptions n’étaient pas visibles lors de l’existence il y a 35 siècles de Phaïtos, car à l’époque ils étaient recouverts de stuc. Faut-il y voir les plus vieilles marques compagnonniques connues ? Héphaïstos c’est le vulcain romain, le patron des bons cousins forgerons et dieu de la métallurgie. Armé de la double hache celui-ci va à la demande de Zeus fendre le crâne de ce dernier pour que puisse s’en échapper, alors qu’elle y était enfermée, la déesse Athéna qui représente la sagesse. La double hache permet de découvrir la sagesse. L'Epée flamboyante,
  qui représente le pouvoir spirituel, dirigée vers le ciel, elle capte les
  énergies célestes et les restitue dans le monde terrestre, sa lame 
  torsadée ou serpentine est aussi l'expression de l'éclair divin illuminant le
  monde d'en bas, plongé dans la matérialité. Elle peut représenter Ziza ou
  Zizon ou Zeus tenant un éclair dans sa main. Kether- Malkuth (Épée
  Flamboyante) : Le premier mouvement est considéré dans la tradition
  kabbalistique comme véhiculant les secrets de la Création. Ce mouvement se
  rapporte au macrocosme – à l’univers qui nous entoure. Sur l’Arbre de Vie
  lui-même, ce Sentier, ou cette Voie, démarre de Kether et aboutit à Malkuth
  dans une course en zigzag que l’on appelle « Épée Flamboyante ». Cette Voie
  est la course primordiale de l’énergie créatrice au travers des Sephiroth au
  travers des trois Piliers (Miséricorde, Rigueur et Milieu). Son voyage
  commence dans le Monde d’Atsilouth afin de se rendre dans le monde d’Asia au
  travers du Monde de Yetsirah et du Monde de Briah. L’Épée Flamboyante a encore une autre signification dans la Kabbale : la Tradition veut que chaque Sephiroth prenne la forme d’un centre d’énergie déséquilibré et sans harmonie. Ce déséquilibre est personnifié en tant qu’entité démoniaque – ou « puissance négative » — que l’on met en parallèle avec les Klippoth ou « coques négatives ». L’harmonisation et l’équilibrage de chaque Séphira par la descente de l’énergie de la création prennent la forme d’une image de la guerre contre les puissances du chaos. Ainsi, l’Épée, dans sa descente dans l’Arbre de Vie, devient un talisman pour vaincre les forces destructrices ; ainsi, en magie, la formule de l’Épée est une arme nécessaire pour le magicien afin d’équilibrer son être – en utilisant ainsi la formule dans le domaine du microcosme. La hache couronnée symbolisant la coupe de l’arbre qui
  servira à l’édification du 2ème temple, elle est le vainqueur de l’apocalypse.
  La lance de Longin, prolongement de l’épée, arme de chasse, mais aussi arme
  de combat. 
 Enfin
  le glaive, si l’épée transperce, le
  glaive tranche. Agissante, avec la balance, le glaive est symbole de
  justice. Dans l’apocalypse le Christ tient dans sa bouche un glaive à 2
  tranchants, symbole du feu purificateur et de la vérité, il est le logos
  (verbe de Dieu). "Et une épée acérée sortie de sa bouche... Apocalypse"....
  Le glaive,
  symbole de puissance, rappelle quant à lui que la justice n’est rien sans la
  force qui permet de la faire appliquer : juger ne consiste pas seulement
  à examiner, peser, équilibrer, mais encore à trancher et sanctionner. Le glaive
  constitue d’ailleurs l’un des attributs symboliques traditionnels de ce
  monopole de la violence physique légitime qui caractérise l’État souverain.
  Le glaive désigne ainsi ce que juger peut avoir de douloureux : la
  détermination de ce qui est juste n’est pas seulement affaire d’appréciation
  intellectuelle, elle implique surtout une décision finale, exécutoire,
  tranchant définitivement un conflit entre des intérêts divergents. Ce glaive rappelle également les Kéroubim qui
  gardaient le jardin d’Eden avec le glaive de keroub, rappelant une symbolique
  forte avec l’action du divin sur terre, l’alliance du sacré et du profane, le
  glaive énergétique, et le dialogue entre la terre sacrée et la glaise profane
  « «  déchausses-toi avant de fouler ce sol… ». Ezéchiel,
  28, 11-16 (Traduction du Rabbinat) : « La parole de l’Eternel me
  fut adressée en ces termes : ‘Fils de l’homme, entonne une élégie sur le
  roi de Tyr ; tu lui diras : Ainsi parle le Seigneur Dieu : Tu
  étais le sceau de la perfection, plein d’habileté et d’une beauté achevée. Tu
  étais dans l’Eden, le jardin de Dieu ; toutes les pierres précieuses te
  couvraient : rubis, topaze et émeraude, tartessienne, onyx et jaspe,
  saphir, escarboucle et diamant, de l’or également ; tu possédais des
  tambourins et des flûtes bien travaillées ; pour toi, ils étaient prêts
  dès le jour de la naissance. Tu étais le Kéroub
  d’élection qui protège [allusion aux Chérubins du jardin d’Eden, Genèse,
  3, 24] de ses ailes ; je t’avais posté et tu étais sur la montagne
  sainte de Dieu ; au milieu des pierres de feu, tu circulais. Tu fus
  irréprochable dans ta conduite depuis le jour où tu fus créé jusqu’à ce que
  la perversité se rencontrât en toi. Par l’activité de ton trafic, ton
  enceinte s’est remplie de violence, et tu es devenu coupable ; je t’ai
  donc rejeté de la montagne de Dieu et je t’ai fait disparaître, Keroub
  protecteur d’entre les pierres de feu. »  -    
  Genèse, 3, 24 : « Ayant chassé l’homme, il posta en avant du
  jardin d’Eden les chérubins, avec la lame de l’épée flamboyante, pour garder
  les abords de l’arbre de vie. »  Le S.C.P.L.F, dans son tableau de
  l’Ordre, met un glaive entre les pattes de l’aigle bicéphale, rappelant entre
  autre cette notion de discernement qui doit présider à toutes démarches
  initiatiques, en sachant séparer le bon du mauvais, la vérité de l’ignorance
  etc. | |||||
| CAZENAVE - LA MERVEILLE DES SYMBOLES | Michel Cazenave | Edition Arma Artis | 2011 | 
| Ce livre n’est pas un dictionnaire des symboles, mais cherche à être un « coup de phare » sur certains des symboles qui hantent notre imagination et qui font l’objet dans le vocabulaire moderne, de nombreuses interprétations. S’interroger
  sur le symbole est un acte religieux, dans le sens où la méditation de ce
  symbole fait appel à notre intuition, à notre âme, c’est être renvoyé aux
  mystères et de ce fait être relié à eux.  C’est
  Héraclite qui disait –fragment 60- « La
  route vers le haut et le bas sont une et la même ». Formule
  reprise par Hermès Trismégiste « Tout ce
  qui est en haut est comme tout ce qui est en bas, et tout ce qui est en bas
  est comme tout ce qui est en haut ». Autrement dit, tout est
  une transformation incessante dans le monde auquel nous vivons, entre le
  monde visible et le monde invisible. Si
  l’on ne prend pas garde au symbole, si on ne veille pas à en faire un usage
  rigoureux, il nous entraine facilement dans la confusion de pensée. Carl
  Gustav Jung l’avait bien repéré dans ce qu’il appelait « la
  contamination des archétypes » : toute image symbolique en
  appelle naturellement une autre, et on se retrouve à la fin avec une chaîne
  infinie où tout et n’importe quoi finissent par symboliser avec n’importe
  quoi d’autre. D’où
  la nécessite de revenir aux racines de la réalité symbolique en ce qu’elle
  est chargée de nous rendre visible ce qui est, dans son essence, de l’ordre
  de l’invisible, de nous introduire au mystère tout en préservant le secret de
  ce mystère fondateur : précaution élémentaire, à moins de dériver dans
  le simple fantasme ; et d’autant plus nécessaire quand on s’intéresse à
  un symbole puissamment composite, comme par exemple celui de l’eau. Au sommaire de cet ouvrage, les symboles suivants : Les éléments : La Terre - le Feu - L’Eau - l’Air - l’Ether - Les sens : le Goût - l’Odorat - le Toucher - la Vue - l’Ouïe - au-delà des 5 sens - Les fleurs dans leur jardin : le Jardin - la Rose - le Lis - le Lotus - l’Aubépine - le Narcisse - la Vigne - Des arbres : l’Arbre et la mère - le Pommier - le Figuier - le Palmier - l’Arbre masculin et l’Arbre androgyne - Castor, Pollux et le taureau - la raison des images - Nature et silence - | |||
| CERCLE - LE CERCLE, UN SYMBOLE | M. Loeffler- Delachaux | Edition Signatura | 1947- Réédition 2008 | 
| Chaque
  année, les aspects de la nature se succèdent dans le même temps et le même
  ordre : stérilité du sol, gelé, saison des pluies, gonflement des
  bourgeons, éclosions des fleurs, fructification,, puis retrait des sèves,
  chute des feuilles et saison hivernale. C’est le développement de cette
  courbe de vie revenant sans cesse qui a inspiré aux peuples primitifs l’idée
  de représenter le cycle des saisons par un cercle. Il
  arrive souvent an Art que le cercle dessiné au trait se confonde avec le
  disque, du point de vue symbolique, cela n’a pas d’importance. Le disque est
  au cercle ce que la cause est à l’effet. Il représente le soleil considéré
  par les adeptes des cultes de la lumière comme l’aspect visible de l’Être
  Suprême. Le
  soleil fut adoré par la totalité des peuples au moment où, cessant d’être
  pasteurs, ils devinrent agriculteurs. Le plus célèbre de tous les temples
  péruviens est celui de Cuzco, dédié au Dieu Soleil. Ce temple était d’une richesse
  extraordinaire ; d’autres temples solaires furent construit par les
  Babyloniens, les Egyptiens, les Japonais, les peuples iraniens, de chine, de
  Chaldée, de Grèce, de la Syrie … et c’est de l’adoration du soleil que
  naquirent les religions hindoues, de Zoroastre, musulmane, du soufisme, les
  cultes de Baal, de Zeus, d’Apollon, d’Osiris et autres… Deux symboles principaux ont représenté les dieux solaires dans l’Antiquité : 1/ Le disque, le cercle et leurs dérivés : rosace solaire, étoile solaire, croix solaire, boule, auréole, tonsure des prêtres, bouclier 2/ L’œil qui voit tout En outre, les rayons du soleil ont été symbolisés par
  l’ensemble des objets pointus comme flèches, épées, glaives, bâtons,
  l’obélisque et le rayon pétrifié. Cette belle et longue étude sur ce symbole du cercle nous
  propose : Chapitre 1 :  Le cercle et
  ses dérivés dans les cultes solaires – répartition des symboles solaires
  essentiels au dieu-solaire et à chaque personnage de la divinité.- Le bâton
  symbole du dieu-père – Rapport de la flèche et de l’obélisque avec le rayon –
  rapport mythologique des pères des dieux avec le travail sur bois – L’œil,
  symbole du dieu veillant – Œil du cercle – Mythes de l’œil – les cycles
  gaulois – Pierrot, Polichinelle, Gilles et Arlequin – les dieux boiteux –
  Héphaïstos – le disque symbole du dieu-juge – les boucliers d’or de Jérusalem
  – le règne de l’agneau et celui du bouc – les Dioscures – les Vierges et les
  dianes – Chapitre 2 : Les aspects du
  cercle et les couronnes – le cercle d’or d’Osimandias – les murailles de
  Babylone – le cercle dans la construction des maisons et des tombes – le
  cercle symbole de la perfection divine – Rapports avec la magie – Les
  couronnes dans la kabbale – couronne solaire – sanctification – Auréoles et
  couronnes de plumes – couronne de laurier et d’olivier – couronne de justice
  – couronne de Vie – Couronne d’épines – l’acacia – Chapitre 3 : Les Roues solaires –
  le 25 Décembre – solstice d’été et d’hiver – les fêtes païennes – Fêtes du
  feu – les bûchers et la Buche de Noël – Noël et la roue solaire – roues
  flamboyantes – la 5e roue du char solaire – les sociétés secrètes –
  la roue de la fortune dans les cathédrales -  la roulée – la roue du
  supplice –Meurtres rituels des victimes expiatoires sacrifiées pour la
  purification d’un peuple – Astarté et Tanit – le supplice du char chez les
  Hébreux – la roue de pierre du vieux Mexique – Chapitre 4 : Les symboles du bouclier –
  symboles du temps, du palmier, de l’horloge – Héraklès remonte des enfers –
  Les symboles de l’instant – Dragons à trois têtes – griffons  et calices
  – origine du mot Jehova – Hiram et Salomon, divinités des Druzes – les
  Polichinelles et les Carabosses – Le point Nord – les trois pas de Vishnou –
  les androgynes – Janus Pater – le sapin de Noël – les symboles du bouclier –
  rapport avec le mythe d’Adonis – Résurrection et ascension dans les cultes
  solaires – Les jeux solaires de l’équinoxe vernal – danses avec disques de
  plumes – jeux de pelote – jeux de balles chez les indiens et les chinois –
  les quartiers de l’écu – divisions de l’année en deux, trois ou quatre
  saisons – les quatre points cardinaux – rapport avec les vents, les fleuves
  du Paradis et les enfers – Villes aux quatre portes – le chérubin dans les
  cultes solaires et chrétiens – Apparition de la croix – Chapitre 5 : Cercles et spirales –Signification des ornements en forme de spirale – Souffle spiroïdal des Aquilons – le principe de la torsion dans la statuaire – le dithyrambe – les Danaïdes – Rondes profanes et sacrées – les cercles concentriques et leur symbolisme dans la kabbale et chez Platon – le cercle charme de fécondité – le cercle chaîne de défense – les triscèles – les swastikoïdes – les cordes, les tresses et les entrelacs – corde à nœuds des loges maçonniques - le bracelet et l’anneau – Pythagore et les bagues – l’anneau et le mythe des amazones – la chevauchée des Valkyries – Durer, un rébus – la tresse chez les Grecs – De la guirlande à l’arceau – les divers arceaux magiques au Sial au Japon, en Angleterre, au Tonkin, en Suède – les Arcs de Triomphe – Farandoles provençales – L’anneau et l’empire de Zeus – rapport des anneaux avec la magie – divers nœuds – anneaux de mariage – Les étoiles - L’étoile solaire à huit pointes – rapport des étoiles avec le nom de Dieu – l’étoile dans les mythes – l’étoile annonciatrice et l’équinoxe du printemps – Sirius et les divinités à tête de chien – l’étoile dans les mythes de la nativité de Bouddha et de Jésus – Les rosaces – les herbes de la saint Jean – l’églantine héraldique – la rose dans Apulée et l’âne d’or – les Boules et le soleil dans les rébus – de Dürer à Rabelais - | |||
| CHAPEAU
  –  COUVRE-CHEF –  CHEVEUX  -  MASQUES ET TONSURES....... |      
  Divers  Auteurs | ARCADIA |  2004 | ||
| 
 Il
  en est de même au Rite Écossais Ancien et Accepté, même si, au 1er degré de l'écossisme,
  le président est couvert uniquement à l'ouverture et à la fermeture des
  travaux. Au Rite Écossais Rectifié, les maîtres sont couverts en loge.
  Lorsqu'ils parlent, les frères — sauf le vénérable et les surveillants — se
  découvrent et si le vénérable enlève son chapeau pour recevoir un frère, tous
  les assistants doivent faire de même. On se découvre également pour la prière
  et la chaîne d'union. Au Rite Emulation, le port du chapeau est proscrit bien
  que certains anciens documents anglais indiquent que le maître de la loge
  devait être couvert. L’une
  des choses qui peut intriguer le jeune Maître-Maçon, parmi de nombreuses
  autres, est le fait que le Franc-Maçon reste couvert en Chambre du Milieu.
  Tout au moins dans le Rite qui est le nôtre, le Rite Écossais Ancien et
  Accepté. Ceci ne laisse pas d’être surprenant, car habituellement le
  couvre-chef marque la supériorité, l’autorité, et l'on pourrait penser que
  seul le Très vénérable Maître ait le droit de rester couvert. Naturellement
  on peut y voir le signe de l’égalité de tous les Maîtres-Maçons, mais, si
  l’explication est valable, elle reste certainement un peu courte. Plus
  symboliquement, on peut considérer que le chapeau rappelle par sa forme le
  dôme, et donc la sphère céleste; il symbolise alors le ciel, domaine du
  divin. L’homme qui le porte devient alors médiateur entre la terre et le
  ciel, ce qui justifie : -
  d’une part le sens de commandement et de supériorité attaché au port d’un
  couvre-chef, puisque tous les hommes ne peuvent se prétendre ainsi médiateurs
  entre la terre et le ciel ;  d’autre
  part cela justifie également que les Maîtres-Maçons soient tous couverts :
  étant tous, par définition initiés, ils peuvent tous jouer ce rôle
  d’intermédiaire. Si
  l’on se réfère à la bible, le grand-prêtre portait lui aussi un couvre-chef.
  Ce n’est que vers le 2ème siècle de notre ère que le port du chapeau commença
  à être étendu à tous, à la suite d’une discussion talmudique (traité « Chabbat »), sur le respect
  et la « crainte
  » de Dieu. Ainsi lorsqu’au moyen-âge la coutume fut adoptée par tous les
  juifs on put à la fois considérer que tous étaient semblables au
  grand-prêtre; et en même temps, suivant la tradition, affirmer que le chapeau
  rappelait qu’il y avait toujours quelque chose entre l’homme et Dieu. Le
  chapeau est aussi le substitut de la couronne, symbole de royauté, à la fois
  temporelle et spirituelle, le Franc-Maçon visant la seconde. La couronne
  elle-même figure le cercle ou la sphère, et encore une fois représente le
  cosmos. L’homme qui la porte peut donc être considéré comme celui qui joint
  la terre au ciel, et réciproquement il conduit l’influx venu du ciel vers la
  terre. En ce sens l’homme qui porte le chapeau est un homme debout, l’esprit
  et le regard tendus vers le ciel. Il est à ce moment une perpendiculaire
  vivante. La conception suivant laquelle la ou les pointes qu’on trouve sur
  certaines couronnes peuvent être assimilées à des condensateurs d’énergie,
  rôle attribué également aux cheveux. Vient confirmer cette interprétation :
  cet afflux d’énergie spirituelle que reçoit celui qui porte la
  couronne/chapeau le transforme pour un temps en axe du monde, pont entre ce
  qui est en haut et ce qui en bas. La
  couronne est aussi le nom de la plus mystérieuse des Sephiroth : Kether.
  Placée en haut de l’Arbre séphirotique, première manifestation de l’En-Sof,
  elle est invisible, inaccessible, inconcevable pour l’homme. De plus
  certaines écoles de Kabbalistes considèrent qu’elle fait partie du monde de
  l’émanation, monde lui-même hors de notre compréhension, puisqu’entre lui et
  le monde de la matérialisation, se trouvent le monde de la création et celui
  de la formation. La couronne/ chapeau symbolise donc bien l’inaccessible,
  l’abîme qui nous sépare du Créateur. Dès lors le couvre-chef est à la fois
  symbole d’élévation et d’humilité pour les Frères qui forment la Chambre du
  Milieu. Élévation par l’initiation, élévation par l’évocation de ce qui nous
  dépasse, humilité devant le sentiment de petitesse devant le Transcendant, et
  par la découverte toujours renouvelée de l’immensité de la quête. Ce que
  vient souligner le fait que le Vénérable Maître qui ouvre les travaux se
  découvre lors de l’invocation au Grand Architecte de l’Univers, montrant
  ainsi qu’il renonce à ses velléités de puissance devant ce qu’il sait le
  dépasser infiniment. Le chapeau rappelle au Franc-Maçon sa place d’homme,
  intermédiaire entre la terre et le ciel; microcosme, image du macrocosme. Il
  lui signifie : à la fois qu’il est l’initié, l’élu c’est à dire chargé de
  plus de responsabilité et de devoirs qui sont, entre autres : maintien de la
  Tradition, amélioration de ses connaissances, polissage de sa pierre brute et
  dans le même temps lui fait se souvenir de son devoir d’humilité, je dirai de
  façon triviale que le chapeau évite à la tête d’enfler, car la tête doit
  pouvoir continuer à entrer dans le chapeau. Cheveux : Les sages
  considèrent les cheveux comme un organe à part entière, les cheveux sont une
  prolongation de leur être. Couper ses cheveux : un symbole de soumission
  Raser les cheveux des peuples soumis Jadis quand un peuple était réduit en
  esclavage, raser les cheveux était souvent une des premières actions de
  l’oppresseur pour marquer sa domination. La croyance voulait qu’une fois
  leurs cheveux coupés, la force des hommes diminuerait et qu’il leur serait
  ainsi plus difficile de s’enfuir. Les
  mesures de soumission capillaire de Gengis Khan : Au 13e siècle, quand
  l’empereur mongol Gengis Khan fit la conquête de la Chine, il considérait le
  peuple chinois comme doté d’une grande intelligence. Persuadé que les Chinois
  ne se laisseraient pas soumettre, il prit des mesures capillaires : il
  ordonna par exemple à toutes les femmes de l’Empire chinois de couper leurs
  cheveux en frange, pensant que cela les rendrait davantage dociles et manipulables. Les
  cheveux : jadis synonymes de force et vigueur : L’exemple des pisteurs
  Amérindiens durant la guerre du Vietnam : Pendant la guerre du Vietnam
  (1954-1975), les forces spéciales américaines avaient l’habitude de confier
  les missions de sentinelle à des hommes d’origine amérindienne, réputés pour
  leurs capacités de pistage et de survie exceptionnelles, presque
  surnaturelles. Ces hommes étaient les seuls autorisés à porter les cheveux
  longs, mais pourquoi ? Après des tests commandés par le gouvernement, il
  s’avérait qu’une fois qu’ils avaient été recrutés par l’armée et qu’ils
  avaient adopté la coupe de cheveux militaire, ils perdaient subitement tous
  leurs talents. Cheveux
  longs = 6e sens : Quand on les interrogeait sur leur échec, les
  amérindiens déclaraient qu’en leur coupant les cheveux ras, on les avait en
  même temps privés de leur « sixième sens » et qu’ils ne pouvaient plus se
  fier à leurs intuitions extrasensorielles liées à leurs cheveux jadis longs.
  Nos cheveux sont de moins en moins longs, Avec les nombreuses conquêtes, le
  mélange des tribus et de sociétés, se couper les cheveux devint une pratique
  plus répandue, et, plus les siècles passèrent, plus l’importance des cheveux
  se perdit. La mode des coiffures prit de plus en plus d’ampleur. La
  nature spirituelle des cheveux : Chez les hindouistes, les cheveux ont
  une connotation très spirituelle. En Inde, les sages « Sadhus »
  ayant atteint un haut niveau de sagesse grâce à la méditation et au yoga,
  laissent pousser leurs cheveux sans jamais les couper. L’aura des sages
  hindouistes : La journée, leurs cheveux, qui avec le temps ont formé des
  dreads locks, sont enroulés et attachés en chignon en haut du crâne. Ce «
  nœud » leur permet, selon eux, d’absorber toute l’énergie solaire et ainsi d’agrandir
  leur champ magnétique, leur « aura ». Les cheveux longs ainsi attachés au
  sommet du crâne permettraient aussi une meilleure méditation. « Le
  Créateur a une bonne raison pour nous avoir donné des cheveux » Quand
  les humains laissent pousser leurs cheveux, ils saluent la maturité et la
  responsabilité de leur évolution en pleine croissance et toute-puissante.
  C’est pourquoi vous rencontrerez la grâce et la sérénité chez une personne
  qui n’a jamais coupé ses cheveux depuis sa naissance, s’ils sont bien entretenus.
  Le Créateur a une bonne raison pour nous avoir donné des cheveux Tonsure
  et couronne :
  Autrefois, la réception de la tonsure marquait l’entrée en religion. Ce petit
  cercle dégarni de cheveux était tellement synonyme de consécration religieuse
  qu’il suffisait parfois d’être tonsuré pour se déclarer moine. Il y eut
  d’ailleurs certains abus, d’où l’expression : l’habit ne fait pas le
  moine. La tonsure a été créée vers le IVe siècle et vient d’Orient. On
  en distinguait alors deux types : celle de St Paul, toujours en usage au
  VIIe siècle, où le crâne était entièrement rasé ; et celle de St Pierre
  qui consistait en une simple couronne. Les églises celtiques se sont
  distinguées de l’église catholique  par la conservation de rites
  anciens, datant souvent des premiers temps du christianisme.  La
  tonsure que les Celtes conservaient dans sa forme primitive, dégarnissant
  d’une oreille à l’autre tout le devant de la tête, en laissant les cheveux
  longs derrière. Elle ressemblait à une « couronne fragmentaire »
  que l’on voyait à l’avant du crâne tandis qu’à l’arrière, les cheveux
  restaient longs. Cette tonsure, typiquement irlandaise, venait peut-être des
  druides  dont on sait qu’ils en portaient une. La tonsure est un rite
  sacré de l’église catholique qui marque l’entrée en religion. Elle fait
  passer de l’état laïque  à l’état de religieux, clerc, moine .En
  recevant la tonsure, chaque laïc se soumet à toutes les exigences de
  l’évangile, participe dès lors à la même spiritualité. Elle consistait à
  couper une mèche de cheveux sur le sommet du crâne. Les clercs portaient la
  tonsure sous l’aspect d’un petit cercle entièrement tonsuré au sommet du
  crâne. Les moines avaient le dessus de la tête rasé, cependant que leurs
  cheveux étaient coupés en forme de cercle, imitant la "couronne" de
  St Pierre.  Le
  dépouillement des anciens vêtements et la prise d’habit  représentent le
  passage de l’homme ancien vers l’homme nouveau créé à l’image de Dieu. La
  tonsure symbolise une vie pure et parfaitement dépouillée qui élève
  l’intelligence jusqu’à la plus grande perfection, la plus haute conformité
  divine. Elle marque la mort de tous les désirs charnels. C’est une
  consécration totale que met en relief le rite de la tonsure. Lors de la
  cérémonie le prêtre demande : Bénis ton serviteur qui est venu t’offrir
  en prémisse la tonsure des cheveux de sa tête, geste symbolique signifiant
  l’offrande totale de sa vie et de son être. La tonsure marque, tout comme
  l’habit monastique, le dépouillement que le moine a choisi de vivre. Le
  monastère qui est un espace hors du temps, loin de l’agitation du monde,
  souvent perdu dans une nature rude, vit en autarcie, clos sur lui-même. Il
  isole les moines dans une vie de prière, de travail, d’obéissance, de
  renoncement, de quête extrême du minimal, d’humilité et de don total de soi.
  Don des cheveux, mais parfois aussi du sang : certaines abbayes
  passaient marché avec un barbier, ou un chirurgien pour faire le poil, la
  barbe, la couronne de tous les religieux, ensemble toutes les saignées  
 Y est développé : Le chapeau et ses divers noms (kipa, béret, calot, turban,
  borsalino…….) et pourquoi on se couvre dans certains rituels la couronne de laurier et d’olivier, le couvre –chef,  la chevelure, les cheveux la couronne, la tonsure, la barbe, le voile dans le Coran et les écrits testamentaires, les
  cornes du taureau Mithra et des divers animaux, le 7e chakra (coronal) et ses rapports avec Kether et les
  Sephirot | |||||
| CHEVALIERS ET DRAGONS  | P.G.
  SANSONETTI   | Edition
  du Porte Glaive |  1995 | ||
| 
 Le
  cinéma n’est pas oublié dans cette quête conduisant d’image en image ;
  et ce d’autant plus que les héros de jadis revivent dans des univers de
  science-fiction ou d’Héroïc Fantasy. Au sommaire de cet ouvrage : L’écume
  des ténèbres et l’acier qu’on aiguise Les
  écailles de la radiance Le
  glaive et la massue Serpents,
  foudres et forges du Nord Les
  guerriers des Cathédrales Le
  ciel en arme – par Saint Georges Dans
  le futur et quelque part en Héroïc Fantasy | |||||
| comment naît une loge
  maçonnique ?          (2  Tomes)         
  -  N°  15  -  | Olivier
  doignon | Edition
  MAISON DE VIE  |  2005 | 
| Ce
  livre aborde l’un des moments les plus importants de la vie des
  Francs-maçons, celui où ils se retrouvent. 
 Ce
  moment est tellement riche, telles les notes d’une partition interprétée par
  des instruments commençant à jouer les uns avec les autres, qu’il a paru
  utile d’y consacrer un travail important, ainsi deux tomes n’ont pas été de
  trop pour approfondir les principaux aspects de l’ouverture des travaux. 
 
 | |||
| CONNAIS-TOI    TOI-MÊME  ET  TU  CONNAÎTRAS  L’UNIVERS 
  ET  LES  DIEUX  | DIVERS 
  AUTEURS | ARCADIA |  2002 | ||
| 
 On apprend à devenir intime avec
  son corps : tendu ou relâché, plein d’énergie ou fatigué. On peut
  prendre conscience des tensions accumulées dans le dos, la nuque, les
  mâchoires, les épaules, le plexus solaire, et les détendre. Comprendre son
  corps à un certain niveau c’est le libérer de ses tensions, lui permettre de
  retrouver un tonus équilibré, une meilleure énergie, respecter son rythme
  vital d’activité et de repos. C’est aussi apprendre à mieux l’alimenter et
  abandonner ce qui est toxique pour lui en devenant plus sensible aux effets
  de tout ce que nous absorbons. La sagesse passe aussi par une
  meilleure hygiène de vie et la joie de vivre par une activité plus en unité
  avec le corps et plus proche de la nature, d’où l’importance du samu (travail
  manuel) dans les temples zen. On apprend à devenir intime avec son
  corps : tendu ou relâché, plein d’énergie ou fatigué. On peut prendre
  conscience des tensions accumulées dans le dos, la nuque, les mâchoires, les
  épaules, le plexus solaire, et les détendre. Comprendre son corps à un
  certain niveau c’est le libérer de ses tensions, lui permettre de retrouver
  un tonus équilibré, une meilleure énergie, respecter son rythme vital
  d’activité et de repos. C’est aussi apprendre à mieux l’alimenter et
  abandonner ce qui est toxique pour lui en devenant plus sensible aux effets
  de tout ce que nous absorbons. La sagesse passe aussi par une meilleure
  hygiène de vie et la joie de vivre par une activité plus en unité avec le corps
  et plus proche de la nature, d’où l’importance du samu (travail manuel) dans
  les temples zen. Se concentrer sur son corps c’est
  aussi être attentif à la respiration qui peut être courte ou longue, profonde
  ou superficielle. Cette attention à la respiration, comme aux postures du
  corps et aux gestes, stimule la vigilance et évite de se perdre dans ses
  pensées. Même si comme nous le soulignons cette vigilance contribue à notre
  bien-être, son sens profond est de nous amener à expérimenter que s’il y a
  bien un corps assis et qui respire, il n’y a au fond rien de saisissable dans
  ce corps tel qu’un ego. S’il y a un souffle, ce souffle est libre de tout moi
  qui respire. Ce corps impermanent est constitué
  d’éléments appartenant à tout l’univers : poussière d’étoile il
  n’appartient à personne. Réaliser cela aide à se déprendre de ses
  attachements et à voir l’ultime réalité de notre non-naissance et donc de
  notre non mort, car qu’est-ce qui naît et qu’est-ce qui meurt ?
  Pratiquant l’observation lucide on peut remarquer aussi des sensations qui se
  manifestent : parfois on se sent bien, parfois on a mal aux genoux ou on
  souffre de trop de chaleur. Zazen nous apprend à accueillir les sensations
  telles qu’elles sont sans s’attacher à l’agréable et vouloir le conserver, ni
  détester le désagréable et vouloir le rejeter. C’est le secret du zen face à
  la vie et la mort. L’attitude non dualiste par
  laquelle on peut s’harmoniser avec l’ordre cosmique est celle où l’on est un
  avec la chaleur sans regretter la fraîcheur : à ce moment-là toute
  opposition entre chaud et froid disparaît. On peut réaliser la même chose au
  sujet de la vie et mort : quand on se concentre totalement sur la vie
  quand on vit et sur la mort quand on meurt, l’opposition vie et mort
  disparaît avec son cortège de peurs, d’angoisse et de regrets. C’est ce que
  le zen appelle « réaliser le Nirvana » vivant par l’extinction des
  trois attitudes génératrices de souffrance que sont l’avidité, la haine et
  l’ignorance. Cela se réalise sans quitter ni haïr le samsara – transmigration
  dans les mondes de souffrance due à ces trois poisons. En poursuivant l’investigation de
  soi nous rencontrons aussi des perceptions : l’odeur de l’encens, le son
  de la cloche, le jour qui se lève, le coup de kyosaku sur notre épaule. En zazen
  les yeux restent ouverts : on ne coupe pas le contact avec le monde
  extérieur et tous les organes des sens perçoivent normalement leurs objets.
  Mais par l’attention portée à l’expérience de l’instant, les perceptions sont
  dépouillées de toutes nos projections mentales : si dans la nuit la peur
  peut nous faire prendre une corde pour un serpent, ce qui est le prototype de
  l’illusion, zazen nous ramène à une perception des choses telles qu’elles
  sont, où tout au moins telles qu’elles apparaissent dans le surgissement de
  la perception, avant que notre mental s’en soit emparé. Il s’agit de voir la
  lune dans le ciel telle qu’elle apparaît avant que je la trouve triste parce
  que je suis triste par exemple. Mais si je perçois en moi de la tristesse, je
  perçois aussi cette tristesse telle qu’elle est avant de construire à partir
  d’elle toutes sortes d’interprétations. Donc zazen nous aide à revenir à
  des perceptions purifiées de toutes nos projections mentales et à vivre plus
  en contact avec le monde sans rester enfermés dans notre monde. Le pas
  suivant dans cette observation des perceptions est de constater qu’il y a
  bien des perceptions mais que le sujet de ces perceptions reste
  insaisissable, tout comme l’œil ne peut se voir lui-même. Nos perceptions
  résultent de l’interaction entre les objets, les organes des sens et la
  conscience correspondante. Le phénomène de la perception est produit par
  cette interdépendance mais rien de tout ce processus ne peut être isolé ni
  avoir d’existence en soi : c’est ce qu’on appelle vacuité d’existence
  propre. Dans l’analyse bouddhiste
  traditionnelle des constituants de la soi-disant personnalité, se trouve
  regroupé dans le quatrième groupe l’ensemble des activités mentales qui
  déterminent l’action, le karma : ce sont les émotions, souvenirs,
  désirs, besoins, volonté etc. Zazen aide à en prendre conscience, à mieux
  voir nos motivations et tout ce qui nous anime. Il éclaire nos ombres plutôt
  que de les refouler. Cette observation de nos états mentaux permet d’en être
  moins conditionné et d’éviter que des conflits inconscients n’entravent notre
  liberté. Est-ce que tous nos contenus mentaux sont révélés durant
  zazen ? On ne peut l’affirmer, mais notre lucidité est aiguisée et se
  poursuit dans les autres moments de la vie. Nous aurons ainsi moins tendance
  à nous illusionner. Le maître et la sangha, la
  communauté, sont aussi là comme autant de miroirs permettant de s’apercevoir
  de ses propres illusions. Soi-même étant finalement insaisissable, ces prises
  de conscience ne génèrent pas de culpabilité, mais souvent le rire au sujet
  de soi-même. Quant au cinquième agrégat, celui
  de la conscience, elle ne reconnaît pas les phénomènes mais est consciente de
  leur présence. Comme disent les phénoménologistes, la conscience est toujours
  conscience de quelque chose, ce qui signe le fait que la conscience ne peut
  pas davantage que les autres éléments de la personnalité être prise pour sa
  substance. Elle n’est pas un esprit immuable par rapport à la matière ni une
  sorte de soi ou d’essence ou d’âme permanente. Au contraire zazen permet de
  réaliser une conscience vaste qui ne stagne sur rien et reste constamment
  pure, disponible, ouverte à l’expérience de la vie, ici et maintenant. Cette
  conscience qui va toujours au-delà de toute tentation de saisie dans un
  lâcher prise renouvelé est Hishiryo, au-delà de toute pensée coagulée. Ainsi
  la connaissance de soi est finalement inconnaissance, la conscience,
  non-conscience. Quand l’empereur Ling interloqué par les réponses abruptes de
  Bodhidharma, lui demanda qui il était, celui-ci lui répondit : “Fushiki”
  – non-conscience… je n’en sais rien. Ce non-savoir est de s’oublier
  soi-même, c’est-à-dire oublier les conceptions limitées que l’on a de soi et
  cette libération est l’aboutissement de la quête de soi. Quand Nangaku vint
  voir Eno, le sixième patriarche, celui-ci lui demanda : “Qu’est-ce qui
  vient ainsi ?” Il ne lui demandait pas quel genre de personne il était
  mais plus fondamentalement : quoi ? Quelques années plus tard,
  Nangaku lui répondit : “Ce n’est pas quelque chose”. Autrement dit c’est
  insaisissable, pas même quelque chose d’insaisissable. Réaliser cela dans la pratique et
  s’harmoniser concrètement avec cette expérience, c’est se dépouiller corps et
  esprit de tous nos attachements et aider les autres à en faire autant. Même
  si cette expérience est au cœur de l’éveil du Bouddha, nous ne nous attachons
  pas non plus à cette expérience. Non souillée par le mental elle peut
  continuer dans la vie quotidienne, sans qu’on ait l’idée d’avoir atteint une
  illumination spéciale. Cette déconstruction de la notion d’un ego n’est pas
  un processus analytique se réalisant par étapes successives dans l’ordre où
  nous avons présenté l’étude de soi à partir des cinq skandas. Il s’agit plus
  d’une expérience immédiate et souvent renouvelée, à laquelle on ne s’attache
  pas mais qui produit ses effets, rendant notre vie plus fluide, plus libre,
  comme le soleil faisant fondre un bloc de glace rend à l’eau sa liberté. Et
  cette eau rejoint le vaste océan de la nature de Bouddha dont elle n’a jamais
  été différente ni séparée. De plus ce n’est pas seulement
  l’ego humain qui est sans substance fixe mais tous les phénomènes de l’univers
  et cela se manifeste partout et toujours, sans être jamais dissimulé. Cette
  vacuité universelle est le vide d’une illusion : celle de croire qu’il
  existe de la substance permanente quelque part. L’autre versant de cette
  réalité est celui de la totale interdépendance de tous les êtres. C’est le
  versant “positif” si l’on peut dire de la vacuité qui fonde la solidarité des
  êtres entre eux, la compassion et peut constituer la base d’une refondation
  de l’éthique. Francis
  Bardot
  nous parle de l’Initiation au sein de la Maçonnerie Régulière, voie actuelle
  pour le bonheur de l’humanité et pour la quête de le Vérité.  Gérard
  Wininger
  développe le changement que nous devons effectuer en nous même, pour devenir
  acteur- et non spectateur- de la création et participer ainsi à cette
  amélioration de l’humanité. Cette voie difficile passe par une « ascension  descendante au plus profond de
  soi ». 
 Didier
  Cruz explique
  les différences entre la connaissance verticale et horizontale.   René
  Eloy
  nous parle de l’Initiation, de l’universalité.  Thomas
  Efthymiou
  développe Platon, la République et le Banquet. M.H
  Cassagne
  nous entraîne dans la caverne, son allégorie platonicienne et son symbolisme
  dans le cheminement initiatique du Franc-maçon.  J.C
  Tribout
  nous relate les péripéties de Janus
  et de son miroir, qu’il décline sous plusieurs éclairages, ce qui en fait
  des grilles de lecture fort intéressantes. 
 
 | |||||
| COULEURS – ABC DE LA CHROMATHÉRAPIE | J. J. Quenet | Edition Grancher | 2005 | ||
| 
 Les pratiquants en thérapie des couleurs affirment que celles-ci agissent sur les trois principaux axes humains : à titre physique, elles guérissent un organe de façon directe quand on les appose sur le point de souffrance. Elles agissent également sur un état d'âme ou une émotion quand on les valorise dans l'environnement immédiat d'une personne qui lutte avec ses démons. Enfin, le symbolisme qu'elles représentent a un effet direct sur l'aspect mental d'un individu. Utiliser les couleurs en concordance avec sa personnalité est comme profiter du soleil chaque jour de sa vie. C'est une source énergisante qui peut agir en tant que mesure préventive pour éviter la chute dans des maux de toutes sortes. La
  chromothérapie utilise un peu des notions d'acupuncture pour acheminer ses
  effets bénéfiques. Dans certaines cliniques spécialisées, elle se dispense
  sous forme de rayons lumineux, représentant des couleurs différentes et
  orientés sur la partie souffrante d'un sujet. Les thérapeutes de la couleur
  croient que le corps est en mesure de lire la couleur. Ils perçoivent sur la
  peau du sujet un léger frissonnement sous le rayon lumineux, comme si la zone
  souffrante du corps était ou bien stimulée ou bien apaisée par le phénomène
  de la couleur.  Au sommaire de cet important ouvrage de  390 pages : L’histoire de soins par la couleur, une tradition
  millénaire  -   les couleurs matières et les couleurs
  lumière   -    L’énergie des couleurs et leur
  influence sur le corps et l’esprit   - 
  L’ergonomie   -   la nutrithérapie  
  -   la phytothérapie   -  
  l’aromathérapie  -   les élixirs floraux  
  -   la lithothérapie   -     
  Les sept couleurs de l’arc-en-ciel    -   la
  non-couleur et la synthèse de toutes les couleurs : le noir et le
  blanc    -     Les applications
  locales  sur les parties du corps à traiter  
  -    L’ombre et la lumière   -  ingestion et
  application d’eau « irradiée »   -   Diverses
  maladies qui se traites par les couleurs   -  les
  correspondances du corps dans la main et la plante des pieds  
  -   | |||||
| COULEURS -  abc des
  couleurs | Daniel
  BERESNIAK | Edition
  Grancher |  2001 | 
| La
  découverte de la magie, du langage et de l’application des couleurs vous
  permettra d’utiliser les couleurs plus consciemment pour vous exprimer et
  embellir votre vie. Manifestation de la lumière, la couleur illustre les
  relations qui unissent toutes choses sur un plan physique, physiologique ou
  psychologique ; manipuler les couleurs c’est agir à la manière d’un
  organiste qui répand des harmonies : leurs pouvoirs résident dans le
  fait qu’elles suscitent ce qu’elles symbolisent. Cet
  ouvrage peut se lire sans obligation chronologique, la première partie nous
  livre la symbolique des couleurs dans les différentes circonstances de la
  vie, alors que la seconde partie, essentiellement composée de tests, nous
  demande plus de réflexion personnelle. Nous
  vivons parmi les couleurs, et elles exercent une influence sur notre
  comportement et sur nos émotions : le rouge excite, le bleu calme et
  détend, cela est bien connu. Le
  langage courant emprunte aux couleurs de nombreuses images : voir la vie
  en rose ou en noir ; rire jaune, voir rouge, n’y voir que du bleu ou
  encore broyer du noir etc. Cela exprime la joie, le plaisir, la tristesse, la
  déception ou la colère. Ainsi
  donc, nous réagissons aux couleurs, mais alors pourquoi se contenter de les
  subir ? Il est préférable de les étudier pour comprendre et ainsi
  apprendre à s’en servir. Le choix judicieux des couleurs permet de mieux
  travailler, de mieux se concentrer, et d’une manière générale de stimuler les
  facultés dont nous avons besoin et parmi cela son influence sur la santé. Au sommaire de cet ouvrage : 1e partie : Nature
  et symbolisme des couleurs  -  la nature et le pouvoir des
  couleurs  -  complémentarité et dualité  -  les couleurs
  primaires et secondaires  -  le triangle de Goethe  -   2e partie : Les couleurs et les
  sciences secrètes  -  les couleurs et le blason  -  les
  propriétés étranges des pierres précieuses -  les couleurs et le Grand
  Œuvre  -  symbolisme des couleurs dans les groupes ethniques 
  - 3e partie : Les couleurs dans la
  vie quotidienne  -  décoration et coloriage  -  la
  publicité et la santé  -  les couleurs de l’Aura et les
  chakras  -  des gouts et des couleurs  - 4e partie : Mesurez votre énergie par les couleurs - Divers tests psychologiques d’approche - | |||
| COULEURS  - 
  B.A-BA    DE  LA   COLORTHÉRAPIE | MAURICE    CHAVELLI | Edition 
  PARDES |  2003 | 
| La
  colorthérapie est l’art de soigner
  avec des couleurs. Cette thérapie, peu connue, est à la fois
  simple, belle, efficace et à la portée de chacun. 
 La
  colorthérapie est une méthode d’harmonisation et d’aide à la guérison
  naturelle des maladies par les couleurs. Les couleurs correspondent à des
  vibrations ayant des vitesses, des longueurs d’ondes, des rythmes différents.
  Les couleurs exercent une influence physique, psychique et émotionnelle dont
  nous ne sommes généralement pas conscients et permettent à notre énergie
  vitale d’atteindre un état facilitant grandement l’auto-guérison. La
  couleur AURORE est une expression
  qui définit une coloration évoquant la luminosité que l’on peut voir quelques
  instants avant le lever du soleil, un mélange d’une teinte jaune, mélangé au
  rouge et de reflets évoquant l’or et sa symbolique. Au 20e siècle,
  en 1905, le répertoire des couleurs de la Sté appelée ‘’chrysanthémistes’’,
  indique pour le terme ‘’aurore’’ une dénomination usitée dans le commerce des
  soieries par les soyeux de Lyon – or saumon des doreurs – cette couleur
  présentant une teinte dorée à reflets, qui présente une multiplicité de tons
  variables au fur et à mesure que le soleil se lève. Le reflet de la couleur
  dorée n’en donne d’ailleurs qu'’une idée imparfaite. Le
  BLANC stimule les neurones : Le blanc possède une
  action énergisante. | |||
| COULEURS -  bleu –
  histoire d’une couleur  | Michel pastoureau  | Edition
  du  SEUIL  |  2006 | ||
| 
 Ce
  très ancien système chromatique sert, par exemple, au regroupement
  trifonctionnel des classes dans la Rome antique, et on le retrouve au Moyen
  Âge dans la littérature, les fables, les contes (la plus ancienne version du
  Chaperon rouge remonterait à l’an mil, p. 82). Le lexique des bleus est,
  en latin, imprécis et instable. Cela ne veut pas dire que les Romains ne
  voyaient pas le bleu : la rétine humaine n’a pas changé de structure !
  Mais la couleur bleue est « silencieuse », c’est-à-dire non
  intégrée à un système de valeurs (et plutôt associée aux barbares, Celtes et
  Germains,  Le
  bleu change de statut au 11e siècle. Il se fixe, dans
  l’iconographie, comme couleur du manteau de la Vierge. D’abord religieux et
  marial, il éclate dans les vitraux gothiques (p. 52). Puis il entre en
  politique : les armoiries familiales des Capet (fleurs de lys sur fond
  d’azur) deviennent l’emblème du roi de France vers 1130 Le rouge reste
  impérial et papal, mais le bleu devient royal : c’est la couleur du
  légendaire roi Arthur. Sa vogue peut même se mesurer : vers 1200, l’azur
  n’est présent que dans 5 % des armoiries ; vers 1400, la proportion est
  de 30%. Le rouge a gagné un nouveau contraire (p. 83). Les teinturiers
  en bleu détrônent, dans la corporation, ceux du rouge (pour une belle « mise
  en roman » de cette lutte dans l’Albigeois vers 1440,   Entre
  les 15e et 17e siècles, le bleu devient une
  couleur « morale ». Les lois somptuaires prolifèrent, qui régissent
  entre autres le vêtement, « premier support de signes dans une société
  alors en pleine transformation » (p. 88). Il y a des couleurs
  interdites, et des couleurs prescrites, notamment pour marquer ou
  stigmatiser. Mais on ne stigmatise pas en bleu : ni prescrit ni
  interdit, le bleu est libre (p. 93). La Réforme protestante, qui est
  iconoclaste mais aussi « chromoclaste » assure la promotion du noir
  vestimentaire. Le bleu en profite et devient une couleur
  « honnête ». Une nouvelle sensibilité chromatique s’installe :
  le noir et le blanc quittent l’univers des couleurs. Quand Newton prouve
  scientifiquement le fait (expérience du prisme, 1666), la mutation culturelle
  avait anticipé ce changement. Et on peut encore voir dans la non-couleur de
  beaucoup d’objets industriels autour de 1950 (noir des voitures, blanc des
  appareils ménagers) la marque de cette éthique protestante du capitalisme.  Enfin,
  du 18e au 20e siècle, le bleu triomphe.
  L’invention, vers 1720, de la gravure en couleurs prépare la réorganisation
  du système autour de la triade rouge/ bleu/ jaune, futures couleurs primaires
  (p. 121). Les bleus se diversifient. Côté matériel, la guerre des deux
  bleus tinctoriaux (pastel européen contre indigo exotique) se lit dans les
  règlementations étatiques et les luttes coloniales. Vers 1710, une fraude
  commerciale donne naissance à un nouveau pigment, le bleu de Prusse
  (p. 133). Goethe (Traité
  des couleurs, 1810), réaffirme contre Newton la forte dimension
  anthropologique de la couleur : « Une couleur que personne ne
  regarde n’existe pas ». Et c’est lui aussi qui, avec l’habit bleu de
  Werther (1774), lance le bleu romantique, celui de la « petite fleur
  bleue » de Novalis, couleur de la mélancolie et du rêve qui aboutira
  vers 1870 au « blues » anglo-américain. Le
  bleu politique s’affirme d’abord en France : entre 1789 et 1794, il
  passe des armoiries à la cocarde, de la cocarde au drapeau et aux uniformes.
  M. Pastoureau détaille l’épisode (p. 141-158), et montre que le
  tricolore est d’abord celui du drapeau américain, qui procède lui-même du
  tricolore anglais fixé en 1603. Puis le bleu politique se mondialise en
  couleur de la paix et de l’entente Côté vestimentaire, le noir se transforme
  en bleu marine, autour de 1930, sur presque tous les uniformes (marins, mais
  aussi policiers, pompiers, facteurs,  et le bleu civil s’impose via le
  jean (vêtement sage plutôt que rebelle, L’ouvrage se termine sur un assez
  triste constat : le bleu serait-il, aujourd’hui, « une couleur
  neutre » ? C’est la couleur préférée de la majorité des adultes, disent
  les sondages (mais pour bien les interpréter, Autres mutations, la mer est devenue
  bleue et le bleu devenu froid : « comme nos sociétés occidentales
  contemporaines ». La bibliographie « très sélective » qui clôt
  l’ouvrage… compte tout de même plus de 150 références !  | |||||
| COULEURS - DICTIONNAIRE DE LA SYMBOLIQUE DES COULEURS | Georges Lanoë-Villène | Edition Maison de Vie | 2010 | ||
| 
 Le rouge : c’est la couleur de l’énergie, de la passion, de la force, de la motivation et du dynamisme. Il nous nous stimule et nous incite à agir. Il symbolise l’esprit des pionniers, des révolutionnaires, des extravertis. Il fait monter la tension, accélère les pulsations cardiaques, élève la température du corps et met l’attention en alerte. L’orange et le jaune : ce sont des couleurs qui élèvent l’esprit, stimulent l’énergie et apportent de la gaieté. L’orange est associé à la joie, à la créativité, à l’exaltation et au mouvement. Le jaune est associé à la volonté, l’intellect et les sentiments d’indifférence. Ce sont des couleurs chaudes et optimistes qui ont la faculté de nous réjouir le cœur et de nous remonter le moral. Le vert : il est associé à l’équilibre et à l’harmonie. Il représente l’équilibre, il est neutre - ni chaud, ni froid. C’est la couleur de la nature, de la bonté, de la compassion de l’affection et du partage. Vert signifie honnêteté, stabilité et digne de confiance. Le vert réconforte et allège le stress. Le bleu : c’est la couleur du calme. Rafraîchissant, apaisant, réconfortant, le bleu aide à adopter un rythme plus détendu et à se décontracter. Il ralentit le rythme cardiaque et fait baisser la tension. En agissant sur nos muscles et notre esprit, il nous permet de respirer plus profondément. C’est la couleur de la communication, de l’imagination et de la force intérieure. Il apporte le calme, la paix et la sérénité. Le violet : il est associé à la méditation, il porte à la contemplation et à l’introspection. Il est lié à l’intuition, à la clairvoyance et à l’ouverture d’esprit. Il favorise la perspicacité et la perception. C’est la couleur de la dignité et du respect de soi. La vibration à la fois forte et raffinée du violet en fait une couleur douce, apaisante et élève l’esprit. Le rose : c’est la plus féminine des couleurs. Elle incite à la douceur et la tendresse et exprime l’amour et le bonheur. Ses nuances chaudes et caressantes sont pleines de bienveillance et d’affection. Il entretient l’amour et l’amour de soi, il représente la tendresse, la protection et la compassion. Le marron :
  La vibration de cette couleur nous aide à redescendre sur terre et nous y
  sentir bien enracinés. La terre alimente constamment notre énergie. Il nous
  permet de nous sentir plus forts et plus équilibrés. Auteur
  d’un monumental Livre des symboles, Georges Lanoë-Villène s’est
  particulièrement attaché à l’étude de la symbolique des couleurs. Utilisant
  de multiples données traditionnelles et mythologiques, il a rassemblé un
  maximum d’informations. Incarnations des forces vitales, les couleurs forment
  un langage qu’il faut interpréter. En elle- même chaque couleur possède une
  valeur spirituelle et symbolique qui détermine son utilisation tant
  artistique que matérielle. Nous vivons dans un monde coloré où rien n’est dû
  au hasard ; cet ouvrage nous convie à découvrir la signification
  profonde des couleurs et leur influence. Il est une référence majeure. Lanoë-Villène était un spécialiste
  de l’antiquité gréco-romaine dont il a tiré quantité d’informations ; mais
  il s’est également intéressé à l’Egypte, à l’Inde, à la Chine et aux
  traditions amérindiennes. Outre la présentation des faits symboliques,
  l’auteur s’est autorisé d’amples développements à propos des figures
  mythologiques (par ex. Bacchus lié à la couleur
  rouge). On trouvera aussi l’étude des couleurs dans les traditions
  médiévales, la religion chrétienne ou les cultures celtiques et scandinaves. Vaste
  panorama par conséquent, qui offre un véritable traité de référence, une mine
  incomparable d’informations et la base indispensable d’études futures  Couleurs étudiées dans cet ouvrage :  Amaranthe  -  Ambre  -  Améthyste
   -   Arc-en- ciel  -  Blanc  -  Bleu  -  Blond 
  -  Brun  -  Caméléon  -  Cendre 
  -  Corail  -  Electrum  Emeraude 
  -  Jacinthe  -  Jade 
  -  Jaspe  -  Jaune  - 
  Mauve  -   Mûre  -  Noir  -  Or  -  Orange 
  -  Pourpre  -  Rouge  -  Roux
   -  Sable  - 
  Safran  -  Topaze  -  Vert  -  Violet  | |||||
| COULEURS, IMAGES, SYMBOLES- Etude d’histoire et d’anthropologie  | Michel
  PASTOUREAU | Edition
  LE LEOPARD D’OR |  1992 | ||
| Un
  des meilleurs livres sur les couleurs. L’auteur a rassemblé 10 études parues dans
  diverses revues et les a classées en 3 terrains de recherche : l’histoire,
  les codes et fonctions et l’univers du bestiaire. 
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| COULEURS - LE LANGAGE DES COULEURS | DIVERS AUTEURS | ARCADIA | 2001 | ||
| 
 Bleu foncé: Le bleu foncé est la couleur de la profondeur des émotions et des secrets enfouis de son Etre intérieur. Rêver de cette couleur, sous quelque forme que ce soit, est un appel à s’écouter. L’appel est plus grand encore si le bleu est celui de l’eau qui nous entoure dans le rêve. Bleu indigo: Couleur de la force spirituelle, le bleu indigo est vu pour signaler la nécessité d’effectuer un travail de guérison sur soi ou sur les autres. Ce travail doit conduire à un rapprochement de l’âme et de l’esprit. Bleu clair: Le bleu clair est la couleur de la douceur et de la sagesse qui se fait jour chez un individu. Le bleu clair renvoie à l’âme et à sa pureté originelle en tant que part de l’Amour. Rêver de cette couleur est le signe que vous êtes ou entrez dans une période de calme et parfois de tendresse. Vert foncé: Le vert foncé renvoie à la Nature mais également et surtout à la nature profonde de l’individu. Couleur de la maturité émotionnelle, elle se rencontre surtout dans les rêves ou la Nature a une place prépondérante. Rêver de porter un vêtement de cette couleur est le signe que la maturité se fait jour ou est bien établie. Sauf si le vêtement est abîmé ou délavé. Vert clair: Le vert clair est la couleur de la guérison spirituelle, surtout s’il est lumineux. Couleur de l’énergie qui émane du chakra du coeur le vert clair indique la compassion et la générosité. Si vous en rêvez, vous êtes une personne qui vous ouvrez volontiers à votre coeur. Le reste du rêve précisera le domaine où il faut tenir compte de cette information. Jaune: Le jaune est la couleur du soleil t de la joie, pas celle de la Lumière. Le jaune est une couleur pimpante qui redynamise et revitalise. Si vous en rêvez c’est que vous en avez moralement besoin pour une raison ou une autre. Votre subconscient, et donc votre Etre, vous soutient. Orange: Couleur de l’amour terrestre passionné sans excès toutefois, l’orange est une couleur idéale pour quiconque est amoureux. En revanche si celui qui en rêve ou la voit en vision ne l’est pas, il doit comprendre qu’il reçoit de l’aide sur le plan affectif. Son âme lui fait savoir qu’il est aimé et qu’il ne doit pas s’inquiéter. L’orange est une couleur éminemment positive. Marron: Le marron ou brun est la couleur de la terre, du monde matériel et par conséquent des choses crédibles et réalistes. Lorsqu’on en rêve ou qu’on en voit il faut comprendre que l’objet concerné nous renvoie directement à notre réalité. Bordeau: caractérise les personnes capables d’agir avec force, sérénité et maturité. Le bordeau est la couleur de la maturité effective, acquise avec le temps. Dans les rêves cette couleur signifie que vous savez ou avez su allier savoir et expérience dans le règlement d’une affaire donnée tout en conservant votre intégrité. Rouge: Le rouge est la couleur de la force extérieure et de la combativité. Elle peut devenir celle de l’agressivité également. Mais d’un point de vue spirituel, le rouge est une couleur plutôt positive qui indique à l’individu qui en voit dans ses rêves ou dans une vision qu’il a ce dont il a besoin pour atteindre ses objectifs Rose: Couleur de l’enfance, de l’amour romantique et de la tendresse, le rose est une couleur très douce mais très puissante qui n’indique que des choses positives. A moins qu’il soit sale ou figure sur un objet abîmé. Car le rose est également la couleur de la nostalgie et du passé regretté. Violet foncé: Couleur de la spiritualité par excellence puisqu’elle allie le bleu de l’intérieur et le rouge de l’extérieur, le violet foncé est une couleur qui sort rarement pour indiquer des choses négatives. Le plus souvent vous devez comprendre que dans un domaine au moins vous agissez avec sagesse. Mauve: Cette couleur douce et méconnue sur le plan spirituel indique que la puissance de l’âme s’est alliée à la sagesse d’une personne pour le règlement d’un problème ou la gestion d’une situation. Gris: Le gris est la couleur de la fin, du renoncement et du passé détaché. Si on en rêve c’est que quelque chose en nous ou dans notre vie s’achève. A moins d’avoir une relation particulière avec cette couleur. Auquel cas il faut lui appliquer sa signification personnelle. Noir: Loin d’être une couleur annonçant des choses dramatiques, le noir est une teinte neutre. Si dans votre rêve ou dans votre vision elle vous inspire des choses négatives, observez l’objet en cause. C’est de lui que vient le problème. Blanc: La couleur de la Lumière, de la pureté et de la sensibilité. Le blanc est la couleur de l’âme de ceux qui ont choisi de suivre la voie lumineuse. Argent: L’argent est la couleur de la perfection en devenir chez l’homme. L’argent de la Lune représente la Déesse Mère dans certaines traditions, mais pour nous cette couleur symbolise surtout que nous sommes sur la voie de la réalisation intérieure. La route est encore longue, l’argent n’est pas l’or. Mais l’encouragement est certain. C’est un signe très positif que de se voir portant ce métal ou quelque chose le rappelant. Or: Couleur de la perfection, du Soleil et du Père, l’or caractérise la réalisation à un degré des plus élevés mais seulement dans un domaine bien particulier et ce pour une durée limitée. Il faut bien comprendre que tout est toujours en mouvement et que par conséquent la fin d’un cycle annonce forcément le début d’un autre. Au sommaire de cet ouvrage : La lumière , domaine de préoccupation majeure dans le monde pictural, les couleurs bibliques , animales , minérales , végétales , la genèse l’exode , Esaü , Jacob , les couleurs de l’arbre de Vie , les couleurs des Chakras , les couleurs énergétiques et leur positionnement dans le Feng Shui . | |||||
| COULEURS - LE LANGAGE DES COULEURS. ÉNERGIE, SYMBOLISME, VIBRATION et CYCLES DES STRUCTURE COLORÉES. | René Lucien ROUSSEAU | Edition DANGLES | 1994 | 
| De
  la feuille VERTE au sang ROUGE, du BLEU
  de l’horizon au JAUNE de l’astre
  flamboyant, des couleurs froides aux couleurs chaudes, la vie organique
  entière se traduisit par un intense cycle énergétique des structures
  colorées. Ce livre va du symbolisme le plus approfondit aux réalités
  scientifiques les plus récentes. Il exprime le langage ésotérique de la
  nature et invite le lecteur à un véritable dépassement spirituel.  La couleur reste une énergie, une
  vibration qui agit au même titre que le son ou la musique. Selon les couleurs
  que vous avez dans votre salon ou votre chambre, vous vous sentirez
  différemment. On sait par exemple que le rouge provoque l’excitation et que
  c’est une couleur qui est évitée dans les lieux de travail, ceci afin
  d’éviter les risques de déconcentration et d’agressivité chez les employés. Les
  couleurs jouent sur votre moral. L’expression « Avoir les idées
  noires » est très éloquente. Ainsi, le noir et les nuances de gris ont
  tendance à déprimer. Le bleu a tendance à apaiser. Il est vrai que regarder
  la mer ou le ciel n’a rien d’agressif. Le vert est associé au calme, à la
  nature. C’est pour cela qu’avoir des plantes chez soi est bénéfique pour le
  psychisme. Le jaune, qui est une couleur chaude, favorisera la concentration.
  L’orange agira plutôt sur l’humeur, en chassant les idées noires et en
  redonnant le sourire. Le rouge est vraisemblablement une couleur à utiliser
  avec modération… Elle renvoie à la séduction, au sexe, à la violence et au
  sang… Cela ne veut pas dire que le rouge est à proscrire pour autant, car
  selon les cas, il peut aussi ramener à la terre, surtout si vous avez
  tendance à vous déconnecter facilement… C’est la couleur d’ancrage qui
  correspond au chakra racine. Si vous êtes vraiment trop dans les nuages ou
  trop « endormi », le rouge peut vous aider à vous dynamiser et à
  vous « réveiller ». En
  réalité, chaque couleur émet une vibration et celle-ci est reçue différemment
  selon les personnes, selon leur vécu, leur sensibilité et leurs problèmes. Si
  une couleur vous dérange par exemple, c’est peut-être qu’il y a encore en
  vous des blocages ou des blessures que vous n’avez pas vraiment regardés…
  Toutes les couleurs ont leurs propriétés thérapeutiques. On parle de thérapie
  par la couleur ou de chromathérapie. Observez
  quels sont les couleurs dominantes chez vous, dans votre appartement ou dans
  votre maison. Regardez comment vous avez tendance à vous habiller. Ensuite
  essayez de déterminer quelles influences ces couleurs dominantes peuvent
  avoir sur vous. Vous pouvez vous livrer à un petit exercice avec des feuilles de couleur. Prenez une feuille, mettez-là juste devant vous à 30 ou 40 centimètres de vos yeux et regardez-la pendant 5 ou 10 minutes. Ensuite, notez ce que vous ressentez. Faites la même chose avec les autres à tour de rôle, et pour chacune des couleurs, notez ce qu’elles éveillent comme émotions, ce qu’elles déclenchent en vous. Vous comprendrez peut-être ensuite le pourquoi de ces couleurs dominantes dans votre environnement et vous pourrez réajuster en faisant les changements qui s’imposent. C’est l’éveil à la BLANCHEUR dans la complémentarité du NOIR absolu. | |||
| COULEURS - LES COULEURS SYMBOLIQUES DANS L’ANTIQUITÉ, LE MOYEN-ÂGE ET LES TEMPS MODERNES | Frédéric PORTAL | Edition TREDANIEL | 1991 | ||
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 Ulrike et Vinzenz Brinkmann, de l'Université de Munich, nous le démontrent dans le cas des statues des sanctuaires de la Grèce classique, et y identifient une influence orientale. L'archéologue Alexander Nagel montre que, dans les palais de la Perse, grande puissance qui impressionnait tant les Grecs, statues et bas-reliefs rutilaient de couleurs vives Cette Perse a été elle-même influencée par la Mésopotamie, civilisation qui, expliquent Astrid Nunn et Rupert Gebhard, employa très tôt le rouge et le noir. Quant aux pigments utilisés, le bleu égyptien, premier pigment artificiel de l'humanité, est un cas emblématique, que nous décrit l'archéochimiste François Delamare. Sa fabrication et son commerce ont fait l'objet d'un monopole durant 2 500 ans, jusqu'à ce que les Romains se mettent à en produire. Orné de vifs coloris, l'art antique ainsi revisité surprend notre œil. Était-il de mauvais goût ? On ne discute pas des goûts et des couleurs, encore moins avec les Anciens ! Au sommaire de cet ouvrage l’auteur développe les couleurs suivantes qu’il divise et explique dans les langues divine, profane et sacrée: Le blanc - le jaune - le rouge - le bleu - le noir - le vert - le rose - le pourpre, la hyacinthe et l’écarlate - le violet - l’orangé - le tanné - le gris - Excellent livre de référence sur les couleurs. | |||||
| COULEURS - mÉdecine ÉnergÉtique de l’aura & des chakras | Françoise avril | Edition ÉQUILIBRE | 2006 | 
| Le
  monde de la santé bouge en ce début de XXIème siècle… Des professionnels de
  la santé découvrent de nouvelles approches, la dimension énergétique,
  psychosomatique et spirituelle des maladies. 
 
 
 Chaque être physique
  vivant ; les plantes, les arbres, les animaux et les hommes possèdent
  une aura. Ainsi que tout objet qui irradie ou utilise de l’électricité. Elle
  est constituée d’énergies circulantes et participent aux échanges avec
  l’univers. Une personne en bonne santé bénéficie d’une aura tonique, mouvante
  et consistante tant les échanges sont nombreux, actifs, harmonieux ; les
  énergies sont donc renouvelées et tous ses corps sont « vivants ». le corps physique qui est solide, perceptible et visible par tous, qui permet l’inter action avec le monde matériel. le corps éthérique qui recouvre le corps physique en en suivant les contours : c’est la dernière protection du corps physique. le corps émotionnel qui est plus souple et donc plus variable, il est nourri par les relations et fluctue en fonction de leur qualité. le corps astral qui est la capsule qui donne accès à la dé- corporation et est nourri par le rêve. le corps mental qui donne la capacité de saisir le « sens », c’est l’expression de notre conscient, l’organisation de notre pensée abstraite. le corps causal qui, si l’on s’en sert, fait comprendre les causalités et par conséquent le destin, le sens du karma que nous avons choisi. Il est d’ailleurs relié aux annales akashiques et permet les illuminations. le corps divin qui est le moyen de tout ramener au sentiment d’amour et de compassion qui nous stimule en terme d’évolution. L’aspect général de l’aura est ovoïde et de couleur variable ou fluctuante, les couches extérieures sont moins épaisses et denses car elles sont constituées d’énergies dites « subtiles ». Des auras en forme de champignon ont déjà été décrites mais il me semble qu’il pourrait s’agir de sur développement des corps supérieurs, état de fait momentané de par l’activité ou chez des individus qui ont omis de nourrir leurs corps éthériques et émotionnels. Chaque corps est donc entretenu par un phénomène ou système particulier et inter agit sur les autres corps en réaction. Si un corps est mal ou peu nourri, il se rétracte et fait donc place à une déformation des autres corps dans le but de compenser ; Non seulement ils changent de forme mais leur couleur ou leur brillance en est atteinte, ce qui engendre une sensation de mal être. Les réactions décrites sont en fait des processus de protection
  du corps physique, il doit rester intact pour préserver les chances
  d’évolution futures. 
 Les processus progressifs sont en général, en l’absence de toute réaction physique en réponse (agression, contre agression) réactions épidermiques (il me tape sur le système… j’en ai la chair de poule…je ne peux pas le sentir…) l’émotion négative (ça me fait mal au cœur… je suis chagrinée…je ne m’en remettrai pas.) le rêve qui interroge ou le cauchemar la préoccupation, l’absence, le ruminement puis l’obsession la folie, le « pétage de câble » Les individus peuvent avoir un canal d’alerte de prédilection selon le niveau de développement des corps : énergie privilégiée selon leur type (mental, émotionnel, instinctif…) mais si l’alerte n’est pas prise en compte, elle gagne les corps sous-jacents. On peut aisément admettre que le code de comportement socialisant est par essence un facteur d’agression perpétuel si l’on s’y conforme en tout point et dans toutes les situations. La question est : d’où tire-t-on l’énergie qui nous maintient en vie ? Elle provient de l’univers lui-même dont nous constituons une unité infinitésimale, et ce « bio carburant » circule en nous par l’intermédiaire des chakras, ou roues qui sont les portes de circulation des forces échangées. Les Chakras sont les capteurs d’énergie dont l’homme a besoin pour vivre (énergie subtile irradiée par le Cosmos). Cette énergie est transmise par l’intermédiaire des nadis et des méridiens d’acupuncture aux différentes parties du corps physiques. Chacun de ses chakras gouverne une glande principale et une partie du corps, ce qui explique que l’action sur le corps passe par la modification du fonctionnement du chakra. Ce livre nous apporte des preuves visibles sur l’équilibre et l’harmonie de nos corps énergétiques, certainement une manière de mieux se connaître à travers le « je » des couleurs et de se guérir par la transformation de soi. | |||
| COULEURS - KABBALE ET COULEURS – LES MYSTḔRES DES NUANCES DE LA
  LUMIḔRE  - | Georges Lahy |  Edition Lahy |  2016 | ||
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 Les Sephiroth n’existent pas dans un espace
  donné, par conséquent il est impossible de les différencier excepté à travers
  l’allégorie. Ceci peut être fait seulement quand nous utilisons des couleurs
  dont l’allégorie représente les Sephiroth. Nous pouvons concevoir ainsi les
  Sephiroth comme étant différenciées, en élévation ou en croissance, d’après
  la relation existant entre une couleur et une autre. Les dynamiques des
  Sephiroth peuvent être imaginées entièrement à travers l’interaction des
  couleurs. Tout ceci est pour « faciliter l’oreille physique », en permettant
  l’expression verbale de ces concepts. Il est certain que les couleurs peuvent
  servir alors de support aux animations des Sephiroth. Elles sont aussi utiles
  pour transmettre l’influx d’une Séphira donnée. Ainsi, si vous souhaitez
  transmettre l’influx de clémence de la Séphira Hesed, méditez sur la couleur
  associée avec cette Séphira. Représentez la couleur de l’attribut que vous
  désirez. Si vous souhaitez la clémence pure, alors cette couleur sera d’un
  blanc pur. Si votre demande implique un petit degré de clémence, représentez
  une blancheur plus douce, comme celle du « mortier du Temple ». Si un individu souhaite accomplir quelque chose à
  travers l’influx du Jugement, il doit faire usage d’un vêtement de cérémonie
  rouge. Il méditera ensuite sur le Tétragramme, représenté dans des lettres
  rouges. De même, dans une activité orientée vers la Clémence, et désirant
  diffuser la puissance de Hesed, il doit porter des vêtements de cérémonie
  blancs. Ceci est clairement montré chez les Cohanim (prêtres). Leur fonction
  était de diffuser l’influx à partir du côté de la Hesed. Ils portaient donc
  des vêtements de cérémonie blancs, qui indiquent la paix. Au Yom Kippour (le
  Jour d’Expiation), le Grand-Prêtre retirait également ses vêtements
  sacerdotaux d’ors et portait du blanc. Le service entier de ce jour était
  exécuté dans des vêtements de cérémonies blancs, et la raison donnée à cela
  est qu’« un accusateur ne devient pas un défenseur », puisque l’or indique le Jugement. La blancheur,
  cependant indique la pitié que le Grand-Prêtre recherchait. Le
  même principe est vrai pour les amulettes. Quand on fait une amulette (Qaméâ)
  pour transmettre le flux de Hesed, il faut dessiner le Nom nécessaire en
  lettres blanches lumineuses. Ceci accroît l’efficacité du Nom. De même, quand
  on recherche le Jugement, il faut dessiner le Nom associé avec le Jugement en
  rouge. Le sang de chèvre est souvent utilisé dans ce but, puisqu’il fait
  allusion au Jugement, à la fois par sa couleur et sa source. Ces choses sont
  bien connues et sont évidentes chez ceux qui écrivent des amulettes, même si
  nous n’avons pas de penchant pour ces pratiques. Il est donc connu que quand
  les Noms sont dessinés sur des amulettes, ceux qui impliquent le Jugement
  sont dessinés en rouge, ceux qui impliquent l’Amour, en blanc, et ceux qui
  concernent la Pitié en vert. Cela est entièrement connu grâce aux Maguidim,
  qui ont appris les méthodes d’écriture des amulettes. Tout
  ceci apprend que les couleurs peuvent servir comme un canal pour les forces
  qui sont transmises à partir du haut. C’est aussi à mettre en parallèle aux
  rites de certains idolâtres. Quand ils offrent l’encens, ils savent
  influencer la puissance d’un signe particulier du Zodiaque. En pratiquant ces
  rites, ils useraient de vêtements de cérémonie dont la couleur est associée
  avec leurs actes. Il est évident que cette façon de faire peut être retrouvée
  dans le pectoral du Grand-Prêtre. Celui-ci contenait douze pierres
  précieuses, chacune avait une couleur différente, en allusion à la
  transmission de l’influx de la source spirituelle de chacune des Douze
  Tribus. Ne refusez pas ce concept. Les alchimistes apprennent que, quand une
  personne regarde de l’eau courante, la Bile Blanche (ou l’Humeur Blanche) est
  éveillée en elle. Donc, quand quelqu’un a de l’insomnie et ne peut pas
  dormir, ils placent des tuyaux avec de l’eau courante devant lui afin de,
  stimuler la Bile Blanche. Ceci accroît l’humidité dans son corps, et il est
  capable de dormir. La même chose est vraie dans notre cas. Quand un initié
  effectue un vol avec son esprit, il constate que ceci est inestimable. Les
  couleurs qui sont visibles à l’œil, ou qui sont représentées en esprit,
  peuvent avoir un effet sur le spirituel, quoique les couleurs elles-mêmes
  soient physiques. » Au sommaire de cet
  ouvrage : Les couleurs - les nuances - les quatre fondements colorés du cosmos - les trois couleurs du champ des pommiers - les six couleurs du commencement - les sept mers - le nom en quarante-deux teintes - les quarante-cinq couleurs-clés - les soixante-dix palmiers colorés d’Elimah - Feu noir sue Feu blanc - entre blanc et rouge - émanation des Sifiroth et nuances colorées - Sifiroth et couleurs dans la Kabbale médiévale - Sefiroth et couleurs dans le Pardès Rimonim - Tékéléth, l’hirondelle du clair-obscur - L’habit pourpre - l’écarlate purificateur - les gradations du saphir - les couleurs du voile du Temple de Salomon - la parokèth - Argaman - le secret des couleurs d’après leurs types - la Menorah et les sept lumières - | |||||
| CRISTAUX     B.A-BA  
  de la  LITHOTHÉRAPIE | JACQUES     
  SENO | Edition
  PARDES |  2006 | ||
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 Pour
  comprendre le fonctionnement de la lithothérapie il faut dans un premier
  temps reconnaître l’existence d’énergie non visible qui nous compose et qui
  compose tout ce qui est manifesté, une aura d’énergie qui est aussi réel que
  ce que vos yeux vous permettent de voir du plan physique. Ces énergies
  subtiles qui nous composent sont la manifestation de notre état d’être au
  niveau émotionnel, mental et spirituel. Si nous changeons d’émotion nous
  changeons la fréquence vibratoire de notre émotionnel. Les minéraux ont une
  énergie forte qui ont des caractéristiques très marqué en fonction de leur
  composition, une énergie subtile stable qui est utilisé en lithothérapie pour
  influence notre subtil et obtenir des améliorations de notre état d’être. La
  portée de ses améliorations est à prendre comme des aides puissantes agissant
  tantôt sur un aspect ou un autre en fonction de la pierre utilisée.  
 Les
  joyaux découverts dans les sépultures royales et les objets façonnés par la
  main humaine provenant d’exhumations effectuées dans les demeures antiques,
  traduisent le degré variable de l’attrait exercé par les gemmes depuis les
  temps anciens. Selon le milieu dans lequel on évolue, on  trouvera et
  donnera divers rôles aux cristaux. Pour un praticien de thérapie alternative,
  un cristal est un instrument qui permet
  d’orienter, concentrer et amplifier les énergies curatives. L’idée
  selon laquelle un cristal, considéré par beaucoup comme seulement une pierre,
  peut avoir une action salutaire directe sur notre santé, risque a priori de
  paraître assez insolite ou influencé par le « New Âge ». Ceci est compréhensible, étant donné la
  métaphysique évanescente développée par certains marchands de cristaux ?
  Pour sa part la science officielle considère la lithothérapie, dénuée de
  toute valeur, tout en refusant une explication à ce refus. L’autre
  facette de la lithothérapie, et dont nous faisons tous l’expérience, est le fait
  que, dans l’univers tout vibre, quoique à des fréquences différentes. Ainsi
  nous captons « les vibrations » de certaines personnes, et
  disons de celles avec lesquelles nous ne nous entendons pas, qu’elles ne sont
  pas « sur la même longueur d’onde » que nous. En
  permanence nous influençons positivement ou négativement l’état de notre
  corps physique par la nature du contenu de notre psychisme. C’est notre
  énergie mentale qui active les cristaux et c’est notre force de volonté qui
  nous aide à orienter, concentrer et amplifier la puissance curative de la Force Vitale Universelle afin d’équilibrer
  nos flux énergétiques. C’est pour cela que notre état naturel consiste à
  évoluer vers l’harmonie de cette énergie équilibrante. Le
  cristal est un objet considéré comme inanimé, et pourtant, il possède une
  fréquence qui est en synchronicité avec la terre, et avec nous autres, êtres
  humains. Le cristal est un support vibratoire, et par ses propriétés, il est
  appelé à agir sur le champ magnétique de
  l’être humain, l’aura, la conscience et la
  mémoire cellulaire. On peut également utiliser un cristal pour
  faire une méditation, pour neutraliser les ondes nocives (télévision) de
  l’écran de l’ordinateur etc. Avoir en permanence un cristal dans sa poche
  protège des agressions extérieures, mais aussi évite des pertes d’énergies. Le cristal de roche a été considéré par les civilisations
  anciennes, et de nos jours, il est  tenu comme une des pierre les plus
  sacrées qui soient, il est l’essence même des roches, il capte la lumière et
  réfléchit l’arc-en-ciel, le cristal de roche est le symbole de l’énergie
  radiante de la Grande Lumière Blanche.
  Il agit comme un catalyseur, un conducteur d’énergie, il est à la fois
  récepteur et émetteur et a la faculté d’équilibrer l’aura. Les cristaux
  s’accordent avec les vibrations humaines grâce à l’affinité qu’ils ont avec
  l’esprit de l’homme. En les portant ou en les touchant, on peut entretenir
  avec eux des liens spirituels importants. | |||||
| cristaux - cristal d’Éveil | Dominique coquelle | Edition Trajectoire | 2003 | ||
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 Les bols de cristal sont, évidemment, les instruments adaptés à ce nouvel âge pour un usage thérapeutique et spirituel du quartz et du Son. Leur pureté, leur puissance et leur beauté résonnent avec notre nature intrinsèque en tant qu’âme-Esprit : notre identité cristalline. En d’autres mots, cette Présence est présente au cœur du vivant. La fréquence cristalline au quotidien : Les capitaines de vaisseaux de quartz peuvent manier cette énergie de hautes vibrations pour leur usage personnel et professionnel. Pour clarifier les lieux de vie, créer des élixirs, dynamiser l’eau, il y a bon nombre d’usage avec ces merveilleux compagnons d’éveil. L’utilisation de la voix accordée à son bol, grâce à la syntonie, va offrir un champ d’expérimentation jubilatoire et profondément transformateur Aussi petite qu’un pois, et de la
  forme d’une pomme de pin, d’où elle tire son nom, la glande pinéale est
  considérée comme étant un troisième œil, pour avoir la même structure de base
  de nos organes visuels. Jusqu’à il y a peu, on croyait qu’il s’agissait d’un
  organe atrophié, aux fonctions indéfinies, d’un œil non développé. Mais cela
  a néanmoins éveillé l’intérêt des scientifiques qui ont mis en lumière des
  fonctions en relation avec la physique et les phénomènes paranormaux… | |||||
| CRISTAUX - CRISTAL ÉNERGIE | Monnica HACKL | Edition PARDES | 1994 | 
| Dans
   ce livre clair et pratique, la naturopathe Monnica Hackl  décrit,
  pour la première fois en Europe, cette méthode étonnamment simple et efficace
  devant permettre à chacun de se débarrasser lui-même de petits
  problèmes  de santé. La N.A.S.A a découvert les effets des cristaux de
  quartz en les testant sur le bien être des astronautes, au cours de missions
  difficiles. Les chercheurs se sont ainsi rendu compte de la difficulté qu’ils
  ont de réduire certains dysfonctionnements psycho-physiques. Ces recherches ont
  ensuite été développées jusqu’à la création de combinaisons de cristaux et de
  couleurs pouvant être appliquées comme moyens thérapeutiques contre
  différents maux.  Monnica
  Hackl explique ici les fondements scientifiques de l’impact de ces cartes de
  cristaux (« crystal-cards ») que chacun peut utiliser pour se
  débarrasser définitivement d’éléments perturbateurs tels que l’angoisse, le
  stress ou l’inquiétude, entre autres. Ajoutées aux fleurs de Bach et posées
  sur les différents chakras, ces cartes peuvent apparaître comme de véritables
  remèdes contre bon nombre de maladies de l’homme comme de l’animal. Il existe
  différents types d’énergies que la science a mis en évidence tels que les
  énergies de gravitation, thermique, électromagnétique ou nucléaire. Les organes
  des sens ne sont pas capables de reconnaître l’énergie magnétique par
  exemple. De même ils ne reconnaissent pas l’énergie subtile. Aussi pour se
  connecter à l’énergie subtile on peut par exemple utiliser un cristal de
  roche, qui a la possibilité de communiquer avec l’énergie subtile mais aussi
  avec l’homme par cette même énergie subtile. Pour cela la personne initiée
  pourra programmer le cristal, lui donner des informations et en recevoir. Il
  sera alors possible d’intervenir sur l’énergie subtile d’une tierce personne
  pour réharmoniser un déséquilibre se traduisant par un excès de rajas ou de tamas pour rétablir satwa. On peut donner
  plus d’une définition pour l’énergie subtile, en ce qui nous concerne on
  conservera l’idée de purusha
  et prakriti et le lien qui existe entre les deux pour que prakriti soit informée des
  intentions de purusha, et
  également que purusha puisse
  suivre l’évolution de prakriti.
  On a vu que l’une est l’autre ne pouvaient être dissociées et le
  liant entre les deux est cette énergie subtile, qui existe en plus ou moins
  grande quantité ou intensité.
  Cette énergie ne peut pas se manipuler de façon grossière, mais
  doit être manipulée à travers d’autres objets qui ont le même type d’énergie,
  tout comme le barreau aimanté peut travailler sur l’énergie
  électromagnétique, par exemple. Le niveau d’énergie subtile varie d’un objet
  à l’autre, chez l’homme elle est concentrée dans les chakras et elle est
  distribuée à partir de ceux-ci.  Chaque
  chakra est connecté à trois choses : un organe des sens, un organe
  d’action, une région du corps. Par exemple, s’il y a une infection au niveau
  de la peau, il faut travailler au niveau de la peau en enlevant l’infection
  (niveau physique), mais aussi rectifier le niveau subtil (chakra anahata), et
  éventuellement aussi ajna.
  Pour travailler sur les chakras il existe plusieurs méthodes : les
  méthodes spirituelles, les méthodes externes (pierres précieuses Les chakras sont des centres d’énergie subtile (et non physique au sens ordinaire) et cette énergie subtile a une origine spirituelle. De nombreux processus enseignés dans les méthodes de yoga sont donc appropriés pour soigner les chakras, comme par exemple la méditation. La méditation aide à rééquilibrer ajna chakra (restaurer sattwa) et permet d’apprendre à contrôler le mental, l’esprit. Dans la méditation on peut distinguer deux étapes principales. La première, indispensable, est la concentration (dharana). Habituellement, le mental part dans toutes les directions et il est constamment agité, très actif. L’étape de concentration consiste à garder le mental dans une seule direction. C’est un apprentissage qui peut être long. Une fois qu’on est capable de se concentrer dans une direction unique on va alors chercher à arrêter le mental sur un point, dans cette direction. C’est la seconde étape, correspondant à la méditation proprement dite (dhyâna). Il n’y a alors plus d’activité du mental. L’esprit est déconnecté de rajas et tamas, l’équilibre est atteint, ce qui se transmet à tout le corps physique favorisant ainsi sa guérison. | |||
| CRISTAUX - LA MAGIE DES PIERRES | Aline Carra | Edition Ramuel | 2001 | ||
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 Il
  est conseillé également de laver de temps en temps la pierre, tout simplement
  avec de l’eau claire et de l’essuyer avec un chiffon propre, puis la mettre
  quelques heures au soleil, afin de la recharger, si c’est une pierre lunaire,
  on l’exposera toute une nuit à la lumière de la lune et à la voûte céleste. Fixer une
  bougie à travers un cristal de quartz qui est suspendu ou debout, au niveau
  des yeux, pendant quelques minutes avant la méditation ou la prière était une
  pratique courante dans le monde entier, dans les endroits aussi divers que
  l’Orient, le Proche Orient, l’Europe préchrétienne et chrétienne, et les
  Amériques. Cette pratique était réputée pour imprégner de clarté et de calme
  toute expérience qui s’ensuivait, pourvu qu’elle fût utilisée dans une bonne
  intention et tempérée par le jugement moral et le bon sens.  « le
  cristal était un objet au pouvoir sacré pour les Amérindiens, les moines
  tibétains, les druides ainsi que les prêtres et les rois de l’Europe
  chrétienne. C’était la pierre de la Lumière Blanche et du Premier Rayon, la
  pierre philosophale du royaume minéral, exactement comme les Elus et les
  Saints parmi les hommes passaient pour être la pierre philosophale du royaume
  humain. » « Le cristal naturel, ou cristal de roche, est quant à
  lui un produit de mère nature. Il se forme dans le sol, au long de milliards
  d’années parfois. Les cristaux se développent au plus profond de la croûte
  terrestre, souvent dans les régions d’activité volcanique et sismique. Le
  processus requiert une chaleur et une pression énormes. Il lui faut toujours
  pour démarrer une « semence » de cristal. Cette semence se crée
  quand un unique atome de silicium fusionne, sous l’effet de l’intense chaleur
  et de la pression, avec deux atomes d’oxygène provenant d’eau ou de vapeur
  surchauffée piégée dans le même espace. Les atomes
  fusionnent pour former une cellule cristalline simple de dioxyde de silicium,
  ou silice, la substance dont sont faits tous les cristaux de quartz. (Le
  produit dérivé de cette transformation est l (hydrogène). Au fil des
  millénaires, si les conditions sont propices, cette semence se met à croître.
  Mais il faut pour cela que le fluide environnant contienne juste les bonnes
  proportions de silicium et d’eau, ou de vapeur pressurisée, maintenues à un
  niveau de chaleur et de pression phénoménal pendant une période de temps
  suffisamment longue. A mesure que le fluide primordial se répand sur la
  première cellule de silice, celle-ci commence à se reproduire, et à
  constituer atome après atome sa complexe structure cristalline. Les gros
  blocs de quartz naturel pur sont en fait très rares. Il n’est possible de
  produire du quartz qu’en le cultivant à partir d’un matériau naturel. Ce que
  font les scientifiques c’est accélérer un phénomène qui prendrait normalement
  une éternité, à tel point que ce n’est plus maintenant qu’une affaire de
  semaines. « Le pouvoir d’intelligence et donc de guérison du cristal
  vient de la Conscience émise par la Terre elle-même et par tout le règne
  minéral et végétal. » « Les cristaux sont capables de déjouer tout
  élément perturbateur en modifiant leur formation, en intégrant ces
  perturbations et en se modelant avec elles. » « Les cristaux
  étaient bien connus et couramment utilisés dans la civilisation Atlante. On
  pense qu’ils ont fait « sauter la terre » par une mauvaise
  utilisation du cristal. C’est faux. C’est pire que cela. Ils ont détourné le
  pouvoir du cristal et ce pouvoir s’est retourné contre eux. » Nombre
  d’hommes sans cesse croissant se tourne vers la recherche de nouvelles
  énergies dans l’étude approfondie des variétés de cristaux, que ce soit en
  physique, en médecine ou dans d’autres domaines. Il ne faut pas jouer avec le
  cristal car c’est sa non-maîtrise qui pourra nous amener à notre perte. Il
  faut aimer le cristal pour ce qu’il est et non pas pour ce qu’il peut. Edgar
  Cayce disait aussi que les Atlantes maîtrisaient le secret de la captation de
  l’énergie solaire qu’ils concentraient dans une pierre « à propriétés
  magnétiques » de sorte qu’elle émettait plus d’énergie qu’elle n’en
  recevait. La pierre était un grand cristal cylindrique, à facettes. Le
  cristal était très utilisé chez les Atlantes. Il produisait le rayon laser.  « Le
  cristal, le quartz a une immense puissance… Le cristal a une mémoire
  indestructible mais le cristal, autant il peut être votre ami, autant il peut
  être aussi votre ennemi. Le cristal n’a aucun état d’âme comme vous. Il n’a
  aucune conscience de ce qui est bon de ce qui n’est pas bon. Il mémorise, il
  restitue. » « D’autres civilisations, avant la vôtre, ont utilisé
  le cristal. Ils se sont détruits. Le cristal a aussi pour particularité de
  vous aider à soulever certains voiles c’est à dire de vous mener vers votre
  supra conscience, de vous mener au plus profond de vous-mêmes pour vous
  reconnaître. Mais là encore nous disons qu’il faut y aller à pas de velours
  car vous risqueriez de vous brûler, vous risqueriez de vous détruire. » 
 « Une
  étude scientifique sur les effets curatifs éventuels des cristaux avait été
  menée aux Etats Unis par C. Norman Shealy, qui en avait exposé les résultats
  dans son livre Miracles Do Happen. Shealy s’était intéressé aux effets du
  cristal sur la dépression. Un échantillon de 141 patients souffrant de
  dépression chronique s’étaient vu remettre un morceau de verre ou de quartz
  qu’ils devaient accrocher à leur cou. Les sujets n’avaient pas été informés
  de ce qu’ils portaient. Au bout de deux semaines, quatre-vingt pour cent des
  participants constataient une amélioration, un « effet placebo »
  selon toute probabilité. Mais six mois plus tard, vingt-huit pour cent de ceux
  qui portaient des morceaux de verre signalaient une amélioration continue,
  tandis que quatre-vingt pour cent de ceux qui utilisaient du cristal
  assuraient qu’ils en ressentaient toujours les bienfaits. Donc, pour la
  dépression au moins, le cristal semblait avoir quelque chose en plus qu’un
  simple effet placebo. » Taillé ou pas suivant sensation : non taillé est
  peut-être plus agréable au niveau vibration. Sa longueur doit faire qu’il
  doit bien tenir dans la main. 
 Les diverses traditions – l’exégèse mystique- la
  correspondance des pierres avec les entités célestes – les pierres et le rêve
  – le cristal et l’Atlantide – la classification des minéraux et sa
  description – classification chymique et cristallographique – comment choisir
  sa pierre – purification, énergétisation et programmation – les quatre
  éléments – les pierres et les chakras – éveil spirituel – magie et protection
  – thérapie par les cristaux – les propriétés curatives – le pendule et la
  boule de cristal – la gemmomancie – les cristaux et ses correspondances avec
  les planètes et le zodiaque - | |||||
| CRISTAUX, MYTHES ET RÉALITÉS | BARBARA
  WALKER | Edition
  DANGLES |  1993 | 
| La
  profonde admiration pour l’incomparable beauté et l’insondable mystère des
  cristaux, a donné l’envie à Barbara Walker  de rechercher puis de
  transmettre ce qu’ils sont vraiment, ce qui la conduit par conséquent à dire
  ce qu’ils ne sont pas, n’ont jamais été et ne pourront jamais être, car ce
  livre est à la fois  rigoureux et très documenté. En historienne,
  l’auteur nous rappelle la valeur symbolique et le rôle sacré que les gemmes
  ont occupé au fil des millénaires, dans toutes les civilisations, ce sens vrai
  et profond que peu d’auteurs ont su respecter dans sa justesse. En tant que
  membre de l’une des plus grandes sociétés minéralogiques américaines, elle
  donne minutieusement la composition chimique des pierres et en détaille les
  conséquences comme les possibles utilisations. Son approche strictement
  scientifique s’accompagne néanmoins de références aux textes anciens qui
  relatent l’utilisation des pierres dans la mythologie, mais aussi dans
  l’organisation sociale, mettant en valeur leur immense pouvoir sur l’imaginaire
  humain. L'engouement
  du "Nouvel Age"
  pour les cristaux les a remis à l'honneur. Ainsi a-t-on vu fleurir en
  quelques années une multitude d'ouvrages de qualité très inégale sur le
  sujet. Dans ce contexte, l'intérêt du livre de Barbara Walker – auteur
  américain à succès – tient à ce qu'il ne participe justement pas de cette
  mode. Enfin, de A à Z, cent-quarante cristaux (de agate à zirconia, en
  passant par améthyste, azurite, chrysobéryl, diamant, émeraude, hématite,
  jaspe, magnétite, obsidienne, onyx, opale, perle, quartz, rubis, saphir,
  topaze, tourmaline...) sont étudiés un à un dans un esprit encyclopédique,
  avec minutie et complétude, autant, sur le plan culturel que chimique,
  minéralogique et géobiologique. Ce livre, richement illustré de photos couleurs et
  noir et blanc, représente ainsi une inestimable mine de renseignements
  inédits et intelligemment présentés, autant qu'un véritable livre de
  référence pour quiconque s'intéresse aux pierres et veut en percer les vrais
  secrets éternels. Enfin 142 cristaux (de A à Z) sont étudiés un à un dans un
  esprit encyclopédique, avec minutie et complétude, autant sur le plan
  culturel que chimique, minéralogique et géologique. Cet ouvrage, richement
  illustré de photos couleurs et noir et blanc, représente ainsi une
  inestimable mine de renseignements inédits et intelligemment présentés,
  autant qu’un véritable livre de référence pour quiconque s’intéresse aux
  cristaux et aux minéraux et veut en percer les vrais éternels secrets. Au sommaire : 1e partie : Pour
  l’amour des pierres   -  qu’est-ce qu’un cristal ? 
  -  le Nouvel Âge  -  la véritable histoire de
  l’Atlantide  -  le mythe de guérison  -  la méditation
  par le cristal  -  les gemmes de la Bible  -  2e partie : L’échelle de dureté de
  Mohs  -  142 cristaux sont étudiés ici – Adamite – Agate –
  Agate de feu – Aigue-marine – Alexandrite – Amazonite – Ambre – Améthyste –
  Amiante – Apatite – Apophyllite – Aragonite – Argent – Atacamite – Aventurine
  – Azurite – Barytine – Benitoïte – Béryl – Bois pétrifié – Brésilianite –
  Calcédoine – Calcite – Célestite – Cérusite – Chabasite – Chalcanthite –
  Charbon – Charoïte – Chiastolite – Chrysobéryl – Chrysocolle – Chrysoprase –
  Cinabre – Citrine – Coprolite – Corail – Cornaline – Crocoïte – Cuivre –
  Danburite – Datolite – Diamant – Diopside – Dioptase – Dolomite – Emeraude –
  Enhydre – Enstatite – Epidote – Etain – Fer – Fluorite – Galène – Géode –
  Glace – Grenat – Halite – Héliotrope ou Jaspe sanguin – Hématite –
  Hénimorphite – Heulandite – Hexagonite – Hiddénite – Hyacinthe – Ivoire –
  Jade – Jais – Jaspe – Kammeréite – Kunzite – Kutnahorite – Labradorite –
  Lapis-lazuli – Lépidolite – Magnétite – Malachite – Marbre – Mercure –
  Météorite – Mica – Moldavite – Obsidienne – Oeil-de tigre – Onyx – Opale –
  Opale de feu – Or – Orpiment – Péridot – Perle – Pierre de lune – Pierre
  ponce – Plomb – Prehnite – Pyrite – Quartz – Quartz fumé – Quartz d'Herkimer
  – Quartz rose – Rhodochrosite – Rhodonite – Rose des sables – Rubis – Rutile
  – Saphir – Sardoine – Sardonyx – Scapolite – Sélénite – Shattuckite –
  Sidérite – Smithsonite – Sodalite – Soufre – Spath d'Islande – Sphalérite –
  Spinelle – Staurotide – Stibnite – Stichtite – Stilbite – Strass – Sugilite –
  Tanzanite – Tectite – Thulite – Topaze – Tourmaline – Turquoise – Ulexite –
  Vanadinite – Variscite – Verre aventuriné – Wavellite – Withérite – Wulfénite
  – Zincite – Zircon – Zirconia cubique ou CZ –  | |||
| CRISTAUX - propriÉtÉs ÉnergÉtiques des pierres & des
  cristaux -         2
  Tomes  - | J.M.
  garnier | Edition A.C.V |  2005 | ||
| 
 C’est un amplificateur. Poser près d’une
  autre pierre il accroît ses propriétés des pierres qu’il entoure. Il peut
  être utilisé avec toutes autres pierres de couleurs. Il dissipe l’électricité
  statique. Il agit sur le plan vibratoire de la personne afin de l’accompagner
  dans son travail. Il purifie l’aura. Pierre de pureté et de lumière elle
  relie aux différents plans subtils, elle amplifie aussi les pouvoirs et les
  énergies d’un individu, sa propre lumière. Le cristal de roche permet également
  d’augmenter les réserves énergétiques du corps et développer les facultés
  psychiques: clairvoyance, intuition, clair audience, télépathie, concentration,
  visualisation…Le quartz rutile : Facilite l'inspiration, augmente le don de
  la clairvoyance. Transforme la négativité. Accroît la communication avec le
  moi supérieur et les guides spirituels. Un gros cristal une géode, ou un
  tapis de quartz placé dans une pièce dispensera ses vertus dans la pièce et
  leurs sphères énergétiques. Servez du cristal de roche pour amplifier les
  propriétés des autres pierres de votre environnement. Il peut être placé soit
  dans une chambre, dans un salon, ou au travail, partout, sous toutes les
  formes, bruts ou polis  Selon
  le cristal, la forme, La boule émet l’énergie à égale mesure dans toutes les
  directions. Energie douce et puissante. Une pyramide permettra de communiquer
  avec nos différents corps subtils. Vous pouvez utiliser le cristal de roche
  pour amplifier les propriétés d’une autre pierre qui serait posée dans votre
  espace de vie ; Par exemple une calcite orange ou une labradorite. Poser un
  cristal de roche en pointe près de votre pierre ou sur un tapis de quartz.  Un premier tome qui répertorie plus de 500 pierres. Cela
  commence avec l’Adamite et se termine avec le rubis (Zoïsite) Un deuxième tome avec la
  lithothérapie, le travail sur les chakras, les maladies (une centaine y sont
  expliquées avec leur soins par les cristaux), les correspondances organe –
  pierre, les différents corps subtils et énergétiques et les systèmes
  sanguins, lymphatiques, musculaires et nerveux.  
 | |||||
| CRISTAUX – MANUEL PRATIQUE DU CRISTAL | Clémence Lefèvre | Edition Exclusif | 2007 | 
| Ce
  livre nous invite à voyager dans le monde magique du cristal. Il en présente
  toutes les possibilités d’utilisation. L’étude des civilisations anciennes
  (celte, chinoise, égyptienne, indienne, amérindienne…), nous prouve que le
  monde minéral a toujours été une source d’inspiration, de guérison et une
  voie de sagesse pour les anciens. Les
  cristaux présentent en effet des qualités merveilleuses, c’est ce que nous
  explique l’auteur dans cet ouvrage résolument pratique et largement illustré
  en couleur. Vous allez découvrir le Cristal
  générateur et régénérateur qui vous dynamisera en quelques
  minutes. Comment mieux dormir, devenir plus calme en toutes circonstances
  avec le cristal bi-terminé ;
  voyager dans les autres dimensions avec le cristal
  laser, ou encore retrouver tonus, force et énergie grâce à l’élixir de cristal… L’auteur
  nous explique aussi pourquoi avoir un cristal dans sa poche peut être aussi utile
  que son trousseau de clés. Mille autres choses sont possibles avec le
  cristal : purifier l’eau, dynamiser les boissons, les aliments, les
  légumes, donner force et vigueur aux enfants, à vos animaux de compagnie,
  rendre plus aimables les gens à votre égard. A titre personnel, vous
  l’utiliserez pour réactiver tous vos centres nerveux de façon à obtenir une
  bien meilleure forme physique. Avec le chapitre consacré à la
  cristallothérapie, vous mettrez en œuvre les techniques destinées à masser et
  stimuler les points du corps, apaiser, nettoyer et redynamiser toutes les
  fonctions vitales. Ce manuel pratique du cristal est un guide simple et
  complet, précis et bien argumenté, destiné à celles et à ceux qui
  s’intéressent aux innombrables vertus du cristal de roche et qui veulent en
  exploiter tous les bienfaits. Au sommaire de cet ouvrage : Une énergie naturelle et radiante - Volition, Visualisation, Méditation et Relaxation - La purification et la programmation du Cristal - Le Cristal : Médecine de l’habitat - Cristal et ondes de formes, - traitement par radiation - Traitement par l’élixir de cristal - Différents usages de la boule de cristal et lire dans la boule de cristal. L’auteur
  Clémence Lefèvre est une spécialiste des pierres et des minéraux, elle
  travaille sur l’utilisation thérapeutique de ces minéraux. | |||
| croix - b.a.
  – ba des croix | David
  gattegno | Edition
  PARDES  |  2005 | 
| Le
  symbole de la croix, a écrit René Guénon, « est précisément de ceux qui sont
  communs à presque toutes les traditions ; ce qui est, pour nous, l’indication
  qu’il se rattache à la grande Tradition primordiale ». La croix est donc fort
  loin, ajoute l’auteur du Symbolisme de la Croix, "d’appartenir
  proprement et exclusivement au christianisme comme certains pourraient être
  tentés de le croire". 
 
 Plus
  qu'un symbole, et quel que soit la tradition, la croix est souvent signe de
  ralliement, façon de vivre, objectif spirituel et un réconfort moral. Au sommaire de cet ouvrage : Chapitre 1 : Le Pal ou Stipe  -  le
  sacrifice « palingénésique »  -  Le centre du monde 
  -   la montagne aérolithique  -   les pierres de
  foudre   -   les armes célestes   -  la
  guerre contre les démons  -   la maçon chicaneur et l’abbé
  enthousiaste  -  les bénédictions cruciales   -  la
  croix de combat et de victoire   -   le dieu
  « bon »   -   les armes précieuses  
  -  la croix de la demeure   -  le carrefour
  cosmique   -  l’homme-montagne et la croix taoïste  
  -   le demeure du sacrifice  -   la chambre de
  feu   - le palais et sa triple enceinte   -  
  la danse de la tortue   -   la matrice
  d’immortalité   -  Chapitre 2 : La fasce ou Patibulum   
  -   la vacuité fascinée   -  la tombe  
  -   la toile de l’araignée   -  tramer la
  destinée   -   le non-écrire poétique   - 
  le faisceau des licteurs   -  le serpent des
  horizons   -  le yoni  - l’esse du tai ki, qui est la
  représentation symbolique du cercle de la destinée individuelle   -
   | |||
| CROIX DE VIE ÉGYPTIENNE, SES FABULEUX POUVOIRS | Marie Delclos | Edition Trajectoire | 1998 | ||
| 
 Replaçant l’Ankh dans l’extraordinaire contexte de
  la mythologie égyptienne toute entière, cet ouvrage est également un tremplin
  pour ceux qui désirent aller plus loin et utiliser cette connaissance de
  manière résolument pratique. De la magie talismanique aux puissants rituels
  liés à l’Ankh, nous restituant toute la force des pratiques occultes de
  l’Egypte ancienne, afin de dynamiser tous les domaines de notre vie, aucun
  aspect n’est passé sous silence des merveilleux pouvoirs de l’Ankh. L’Ankh comme clé et croix : Le
  livre des portes égyptiennes, donne une explication sur l’Ankh comme symbole
  ésotérique « Quiconque possédait la clé géométrique des mystères
  ésotériques, dont le symbole était précisément cette croix ansée, savait
  ouvrir les portes du monde des morts et pouvait pénétrer le sens caché de la
  vie éternelle »  Lorsqu’il est tenu par l’anse, l’Ankh
  évoque une clé, c’est l’une des raisons pour lesquelles on nomme ce symbole
  « clé de vie ». L’Ankh est donc ce qui ouvre, c’est la clé des
  mystères, celle qui fait pénétrer l’initié dans le monde des symboles, c’est
  la clé qui permet de décrypter l’iconographie égyptienne, qui se présente
  comme un immense livre ésotérique, une immense bande dessinée codée dans
  laquelle rien n’est laissé au hasard, rien n’est laissé à l’imagination ou à
  la sensibilité des artistes qui la peignirent, la gravèrent ou la
  sculptèrent. L’Ankh est une clé qui ouvre de nombreuses serrures, et comme
  tout symbole, il possède plusieurs niveaux de lecture mais il semble en plus
  être au centre de tous les autres. L’Ankh est donc la puissance de la vie,
  aussi bien celle qui fait germer l’épi d’orge, que celle qui fait lever le
  soleil. L’Ankh est l’esprit qui est partout, aussi l’Ankh n’est-il pas là
  seulement pour donner aux humains une vie terrestre longue et prospère, mais
  pour lui assurer la vraie vie, la Vie éternelle, la Vie dans l’Au-delà. C’est à cette Vie éternelle que les
  Egyptiens aspiraient avant tout, ainsi que le montre le texte de l’historien
  grec Diodore de Sicile à leurs propos : »…la croyance des habitants
  qui regardent la vie actuelle comme fort peu de chose, mais qui estiment
  infiniment les vertus dont le souvenir se perpétue après la mort. Ils
  appellent leur habitation « hôtellerie », vu le peu de temps qu’on
  y séjourne, tandis qu’ils nomment les tombeaux « demeures
  éternelles » car les morts vivent dans les enfers pour l’éternité, c’est
  pourquoi ils apportent à la réalisation de leur tombe plus de soins et de
  travail qu’à celle de leur maison » Naturellement, il s’agit là d’un
  premier niveau de lecture : pour les initiés : les enfers étaient
  le ciel, et la vie éternelle se trouvait parmi les astres ; là encore,
  il ne s’agissait que d’une forme symbolique recouvrant un dernier niveau de
  lecture, le dernier mystère auquel peu avaient accès. Essayons donc d’aller
  plus loin et faisons appel à Petosiris, qui fut grand prêtre de Thoth à
  Hermopolis Magna ; il était considéré comme l’un des hommes les plus
  savants de l’Egypte, tes instruit des sciences hermétiques, alchimiques,
  symboliques, astrologiques et en magie, c’est lui qui avait enseigné au
  pharaon Nechepso, roi de Saïs, et c’est donc lui qui expliquera aux égyptiens
  comment se comporter durant leur vie terrestre afin d’accéder à la vraie Vie,
  à l’Ankh, je cite :  « Ô vivants actuellement sur terre, je viendrais vers
  vous et je ferais que vous soyez instruit des volontés de Dieu….. Venez, je
  vous guiderais vers le chemin de la Vie….. Si je suis arrivé ici, à la ville
  de l’Eternité, c’est que j’ai fait le bien sur terre et que mon cœur s’est
  complu sur le chemin de Dieu depuis mon enfance jusqu’à ce jour… J’ai
  pratiqué la justice, suivie et respecté l’Ankh, je n’ai fait de mal à
  personne, je n’ai rien pris à autrui, je n’ai fait de mal à personne et j’ai
  toujours suivi les préceptes de Dieu, j’ai fait tout cela en pensant que
  j’arriverais à Dieu après ma mort et que je savais que viendrait le jour des
  Seigneurs de la justice quand ils feront le partage lors du jugement. Heureux
  celui qui aime Dieu, il arrivera à sa tombe sans accident… » Texte des sarcophages chapitre 83 - « C’est la connaissance qui donne la vie éternelle
  « Tout être qui est connaissant ne mourra pas de la seconde mort. Ses
  ennemis n’exerceront aucune influence sur lui et nulle magie ne le retiendra
  sur terre » -Texte des sarcophages Chapitre 85 – Ces textes sont très clairs et lorsqu’on parle de « Nem Ankh », il s’agit bien de la Vie éternelle divine, de la survie dans l’autre monde, de la renaissance et des cycles de la vie : « la mort est donnée à l’inique », malgré tout suivre des préceptes moraux était bien, mais l’insistance était donné vers la Connaissance. | |||||
| CROIX ET SWASTIKA EN CHINE | Louis Gaillard | Edition Archè Milan | 1987 | 
| Un livre très riche en explications sur les croix en général en Chine et particulièrement sur le swastika et ses divers dérivés dont la croix gammée. Une étude très fouillée qui même fait le tour du monde en allant par exemple dans les traditions scandinaves, en Perse, au Moyen-Orient et en Europe Au sommaire de cet ouvrage : Chapitre 1 : Le swastika et ses analogues - Etymologie et origine - ce qu’est la croix gammée - sa diffusion géographique et chronologique - Le swastika symbole d’ornement - le symbole aryen - quand et comment le christianisme adopte le swastika - le cœur du Bouddha - le marteau de Thor - Comme talisman hindou, saxon, gaulois et scandinave - le swastika en Corée et au Japon - les roues de la loi - Croix en Egypte et en Assyrie - L’arbre des bouddha - l’arbre de vie en Chaldée, aux Indes et en Chine - le mobilier chinois - emblème de félicité - Chapitre 2 : La pierre de Si-Ngan-fou - Ancienne et rare plaquette imprimée à ce sujet - En quel sens la pierre est nestorienne sans être protestante - les croix dans les textes - mention sur la croix et sa signification chrétienne - la croix du sommet - Copie en fac-similé de la croix telle qu’elle existe encore aujourd’hui - Chapitre 3 : Traditions anciennes sur la croix - Tonsure nestorienne en croix - Les juifs en Chine et en Inde - La croyance juive à la vertu du Tau cruciforme a pu préparer la voie à la croix - Les anciens missionnaires à la synagogue - Les Tau sur les miroirs taoïstes - la croix de Méliapore - Ruine des Eglises nestoriennes en Asie - le prêtre Jean ou Jehan - le Dalaï Lama - Les chrétiens dans l’armée et à la cour de Gengis khan - apparition des Ming - Découvertes de sépultures et des médailles catholiques - Bibles venues de Chine - le signe de la croix tracé sur le front en Chine et ailleurs - Croix tatouées - La pagode de la croix prés de Chang-hai - Chapitre 4 : La légende de la Chine éternelle et immuable - les divinités franco-chinoise - Le religion de la « pilule d’or » - Nestorius et la mariolâtrie - Images de la sainte Vierge - La croix-talismans que les fidèles tracent sur leurs maisons - Tableaux catholiques à la cour de Pékin - Les convertis arborent partout la croix - Autorisation de la polygamie - Apparitions de croix célestes dans tout le pays - Croix mystérieuses au Japon - Croix avec laquelle les chrétiens se font enterrer - La dévotion au Sacré Cœur popularisée - diverses céramiques avec des croix - la croix et le fong-choei - Ustensiles, vases et cloches décorés de croix - Chapitre 5 : Les croix ou X de fer - L’X de fer de Nankin intramuros - la ville de la fonderie - la pagode Ling-hoa-tai - le pont volant de Pékin - Aérolithes - Cloches tombées du ciel - La croix honorée dans une pagode chinoise - la croix-poussah - le dieu-lézard - les trois X superposés - quel est le rôle, l’utilité, la fonction de cet X de fer et pourquoi l’honorer ? - Serait-ce une amulette géante ? - le Vadjra ou foudre d’Indra, le dieu du tonnerre - Indra au Népal et au Tibet - le Tchakra « roue bouddhique » et le swastika, symbole du Dharma - 280 pages et 120 illustrations agrémentent ce texte - | |||
| CROIX - FULCANELLI ET LE MYSTÈRE DE LA CROIX D’HENDAYE | Axel Brucker | Edition Séguier | 2005 | 
| Depuis la révélation par Fulcanelli, le plus célèbre alchimiste du XXe siècle, de la « croix cyclique d’Hendaye » dans le mystère des cathédrales, philosophes, savants astronomes, chercheurs, francs-maçons et alchimistes du monde entier cherchent à déchiffrer les symboles ésotériques de ce mystérieux ouvrage, que des chercheurs américains ont reconnu comme « Un monument sur le fin du monde ». Axel Brucker, descendant d’une vieille famille hendayaise, a enquêté avec passion sur tous les secrets entourant cette croix qui fait aussi partie de l’étrange histoire d’Hendaye, ou plutôt Andaye ? D’où vient cette croix, que veut-elle dire, quel est son sens et sa finalité et pourquoi fut-elle remplacée, déplacée et retournée par l’église et les prêtres d’Hendaye ? L’auteur s’est plongé dans les milieux ésotériques, maçonniques et alchimiques en essayant de comprendre et de répondre aux questions essentielles : pourquoi Hendaye, pourquoi cette croix avec ces inscriptions, que veut elle nous délivrer comme message ? A qui s’adressent ces messages ? Et que veulent-ils dire ? Que signifie ces étranges figures sur le socle et la curieuse inscription sur la croix. Et pourquoi cette faute en latin ? Peut-on y déchiffrer la date de l’Apocalypse, du Jugement dernier et la place du refuge, comme le pensait le mystérieux Fulcanelli ? Cette croix planté sur le parvis de l’église saint Vincent d’Hendaye est une énigme, elle est devenu quelques temps le centre du monde, au carrefour des religions, des philosophies et des alchimies et tout cela a traversés notre civilisation comme une comète. C’est à une enquête très poussée que nous convie l’auteur, il nous emmène de symbole en symbole, d’énigme en énigme et de découverte en découverte, car cette croix plantée en cet endroit ne doit rien au hasard. Cette croix cache sous un épais manteau des mystères et des secrets bien gardés. A Hendaye personne ne vous parlera de cette croix, alors qu’à Paris, Londres ou New York elle est célèbre et connue, on en parle dans des colloques aux quatre coins du monde, et ceci grâce au grand alchimiste Fulcanelli, qui le premier dévoila au monde entier cette énigme et ce mystère. Au sommaire de cet ouvrage : La croix d’Hendaye - Fulcanelli - Description de la croix et interprétation ésotérique - Millénarisme et fin du monde - Histoire de la croix d’Hendaye - Les quatre âges de l’humanité - Qui était Fulcanelli ? - Ainsi parlait Zoroastre - Le photographe de la croix d’Hendaye - Nul n’est prophète en son pays - Hendaye et le feu - la croix des Andes - Atahualpa - la croix du roi-soleil - le compagnon de la croix - les « faisans » de l’ile aux faisans - les étoiles - les aventures de la croix d’Hendaye en Amérique - L’Apocalypse de Jean - Une église place de la République - la croix du cimetière - la sœur de Sare - la vraie place de la croix - Le cimetière sacré d’Hendaye - Mil esker - | |||
| CROIX - LA CROIX UNIVERSELLE | Raymond Christinger – Jean Eracle- Patrick Solier | Edition Dervy | 1980 | ||
| 
 Du même point initial part une ligne courbe qui revient à son origine. Le cercle est né, de même que la notion d’éternité. Le point initial n’est plus discernable ; le mouvement de la courbe se poursuit sans fin, sans cesse renouvelé mais, en revanche, limité à lui-même alors que la droite s’est à jamais perdue dans l’infini. Maintenant l’horizontale et la verticale se croisent au centre du cercle, elles agissent l’une sur l’autre, et voici qu’apparait l’image de la création éternelle. Les idées les plus élevées, les plus vertigineuses, peuvent donc jaillir naturellement des signes les plus simples sans qu’un système philosophique, une religion, un dogme, soient nécessaire. Dès que le signe se complique, dès qu’il est associé à un système ou une religion, un nouveau contexte fait surgir de nouvelles images, graphiques ou mentales, comme d’une source intarissable. C’est dire qu’une étude exhaustive du motif de la croix est inconcevable. Des héraldistes ont voulu cataloguer toutes les variantes de croix figurant dans des armoiries, ils en ont dénombré près de 500 et pourtant l’art du blason n’a pas épuisé toutes les variantes et à une bénédiction. Le signe est rigoureusement le même ; ici il est négatif, là il est positif. Le symbole ne prend vie qu’en raison de son contexte, qu’en fonction des réactions propres à l’individu qui y recourt. Le signe élémentaire est un remarquable générateur d’idées mais ces idées sont tellement conditionnées par des conventions, par des a priori, que nous ne sommes plus en mesure de nous laisser emporter par un flot de pures pensées. Seuls quelques mystiques, quelques êtres libérés, peuvent peut-être accéder à des pures pensées, mais alors ils peuvent se dispenser de signes. Il convient donc de confronter la croix à des a priori et de dégager un certain nombre de symbole, de croyances, d’images, mais comment les choisir alors qu’ils sont légion ? Il faudrait une existence humaine pour prendre connaissance de tout ce que la croix a inspiré, textes, œuvres d’art, graphismes, et l’on peut dès lors imaginer que tout a été dit à ce sujet. Le remarquable ouvrage de René Guénon, « le symbolisme de la croix », ne date que de quelques décennies et pourtant il est toujours une référence. Ce n’est que récemment que l’on s’est avisé du rôle de la croix dans l’islam, le bouddhisme et l’hindouisme, les spécialistes de l’histoire des religions ont donc encore bien des comparaisons à établir, bien des leçons et des opinions à tirer et à rectifier, car beaucoup de maladresses ont été dites. combinaisons possibles. Notre culture nous contraint à regarder la croix au travers de verres déformants ou du moins colorés. Elle éveille immédiatement des idées reçues, contradictoires parfois. « Être une croix, porter sa croix » sont des expressions qui provoquent des réactions pénibles, négatives, mais on est récompensé, honoré, par une croix s’il s’agit de l’insigne d’un ordre. Tracer une croix sur un texte l’annule, tracer cette même croix sur un être vivant équivaut Au sommaire de cet ouvrage : La croix en Asie - La croix du bouddhisme tantrique ou le diamant universel - la croix américaine - la croix tournante - un peu de sémantique - la croix, signe de la Rédemption - le Tau - du cinq à la Rose+Croix - Note sur le carré magique - la croix serait-elle la clé du Tarot ? - la croix ansée - la croix africaine - la croix en arithmétique - | |||||
| croix - le monde secret des croix | Christiama
  nimosUs | Edition
  TREDANIEL  |  1990 | 
| Ce
  nouveau livre de Christiama Nimosus comble une lacune : l’absence d’ouvrages
  traitant des croix en général, sans esprit de chapelle. Sont ainsi présentés
  dans un ensemble ordonné, clair et captivant une centaine de graphiques
  cruciformes, complétés par un index de 240 noms de croix. Le monde secret des
  croix est un ouvrage de référence qui met en évidence trois faits essentiels
  : Au sommaire de cet ouvrage sont expliquées :  Des croix à profusion : Universalité de la croix 
  -  Origine et extension de la croix chrétienne  -  la croix
  signe magique  -  les croix hiéroglyphiques et idéogrammiques 
  -  les croix astronomiques  -  les croix d’ordre de
  chevalerie  -  les crois pantagrammiques  - L’homme en
  croix   - Graphiques de croix : la croix grecque – celtique 
  -  la svastika  -  le chrisme  -  la croix
  latine  -  de lorraine  -  papale  - 
  orthodoxe   -  en tau   -  ansée  - 
  la croix de la scientologie  -  les Rose+Croix  -  la
  croix hermétique  -   la croix de saint André  -  de
  Malte  -  cathare  -  templière  -  la croix
  habitée  -  ancrée  -  du Languedoc  - 
  astrologique et spatiale  -  la vajra en croix  - Des croix héraldiques : Histoire de l’Art héraldique 
  -  les neuf émaux  -  la croix dans le blason  -   | |||
| CROIX – LE SYMBOLISME DE LA CROIX | René Guénon | Edition TRÉDANIEL | 1996 | 
| La croix est un symbole universellement répandu, commun à presque toutes les Traditions. Dans cet ouvrage, Guénon s’attache d’abord à préciser la portée métaphysique de la croix, en tant que représentation de la réalisation du degré de l’Homme Universel (al-insân al-kâmil en arabe) qui désigne le développement intégral des possibilités de tous les états de la manifestation universelle, et par là même le but ultime de l’initiation. L’auteur aborde ensuite les significations qui découlent de cette doctrine, en développant particulièrement l’étude du symbolisme du swastika et de l’arbre. La représentation de la croix, transposable aussi au domaine cosmologique, permet d’exposer, d’une manière quelquefois très mathématique, les fondements de la métaphysique et la nature de l’initiation. Au sujet de la croix à six branches : La croix latine est formée de deux branches : l’une verticale et l’autre horizontale de moindre longueur. On appellera, en raison des forces qui y agissent, la branche verticale : axe d’exaltation et la branche horizontale : axe d’ampliation. A chaque plan renfermant l’ampliation d’un état donné succède un autre plan parallèle renfermant l’ampliation de l’état suivant. Ces plans se déplacent donc selon l’axe d’exaltation. Chaque plan renfermant l’ampliation d’un état donné est défini par deux droites, l’une étant l’axe d’ampliation et l’autre une perpendiculaire à cet axe passant par l’axe d’exaltation à leur point de croisement qui devient ainsi le centre ou « immuable milieu ». Apparaît ainsi la croix à six branches définissant les six directions de l’espace et le centre ce qui forme au total : sept (le septénaire). Vue dans le plan vertical cette troisième branche reste invisible et la croix à six branches se présente toujours comme une croix latine. Le monde de la forme et, dans une large mesure, le monde métaphysique étant héliocentriques, ces axes seront orientés selon le soleil : Le haut est le zénith, le bas le nadir, la gauche l’ouest, la droite l’est, devant le nord et derrière le sud. Ainsi au plan cosmologique l’axe vertical est l’axe méridien, l’axe nord-sud l’axe solsticial et l’axe est-ouest l’axe équinoxial. Alors les six directions de l’espacent apparaissent comme l’image du macrocosme et chaque plan d’existence comme celle du microcosme … La profondeur de l’exposé, qui synthétise en 200 pages des points fondamentaux rend ce livre capital, souvent considéré comme la pierre d’angle (avec quelques autres ouvrages) de l’œuvre guénonienne. Au sommaire de cet ouvrage : La multiplicité des états de l’être - L’homme universel - le symbolisme métaphysique de la croix - les directions de l’espace - Théories hindoue des trois gunas - L’union des complémentaires - le résolution des oppositions - La guerre et la paix - l’arbre du milieu - Le swastika - représentation géométrique des états de l’être - rapports des deux représentations précédentes - le symbole du tissage - représentation de la continuité des différentes modalités d’un même état d’être - Rapports du point et de l’étendue - L’ontologie du Buisson ardent - Passage des coordonnées rectilignes aux coordonnées polaires ; continuité par rotation - Représentation de la continuité des différents états d’être - le vortex sphérique universel - Détermination des éléments de la représentation de l’être - le symbole extrême-oriental du yin et du yang, équivalence métaphysique de la naissance et de la mort - Signification de l’Axe vertical ; l’influence de la Volonté du Ciel - Le rayon céleste et son plan de réflexion - L’arbre et le serpent - Incommensurabilité de l’être total et de l’individualité - Place de l’état individuel humain dans l’ensemble de l’être - La Grande Triade - Le Centre et la circonférence - Dernières remarques sur le symbolisme spatial - | |||
| CROIX – SYMBOLISME
  DE LA CROIX | Brigitte Boudon | Edition du Huitième Jour | 2011 | ||
| 
 C’est ainsi qu’un carré seul
  représente la stabilité. Circonscrit dans un cercle, il symbolise le passage
  de la matière à la vie. De même, un point seul représente l’idée de
  commencement. Placé au centre d’un triangle, il symbolise la tri-unité
  matérielle ou spirituelle, selon la manière dont ce triangle est orienté.
  L’interprétation des symboles ésotériques n’est donc pas une science exacte,
  mais un art mystique. Le symbolisme traditionnel ne se
  limite pas à des figures géométriques ou à des combinaisons de ces figures.
  Il inclut également l’usage des nombres, notamment ceux allant de 0 à 10 (les
  chiffres sont alors considérés comme des nombres). Chacun d’eux correspond
  également à une loi ou à un principe mystique : 1 à l’unité, 2 à la
  dualité, 3 à la trinité, 4 à la stabilité, etc. Mais là encore, leur
  signification peut changer, selon qu’ils sont pris isolément ou qu’ils
  s’intègrent dans une combinaison dite théosophique. Comme c’est le cas pour
  l’interprétation des figures géométriques, celle des nombres ne constitue pas
  une science, comme il est courant de le dire, mais un art. Naturellement, les symboles
  ésotériques ne se limitent pas à l’utilisation des figures géométriques et
  des nombres. Ils intègrent des illustrations (le phénix, le damier, le
  caducée, etc.) et des objets (l’épée, le sablier, le maillet, etc.). Si leur
  étude est à la fois utile et passionnante, il faut veiller néanmoins à ne pas
  en faire le support d’un intellectualisme stérile, ce qui est malheureusement
  assez courant. Certes, tout symbole ésotérique, notamment s’il est composé,
  ne peut être compris sans faire appel à l’analyse et au raisonnement, mais il
  faut également et peut-être surtout en faire un objet de méditation, afin de
  le soumettre à la conscience de l’âme. En effet, c’est sous l’inspiration de
  ce qu’il y a de plus divin en nous que l’on peut saisir et intégrer la
  signification profonde des symboles ésotériques. Pour certains d’entre eux,
  il semblerait même qu’une vie ne soit pas suffisante pour en percer le
  mystère… | |||||
| CROIX - LE SYMBOLE DE LA CROIX – Essai de métaphysique chrétienne | Jean Biès | Edition Arma Artis | 2010 | 
| Le symbole de la croix est le mémorial de toute la méta-histoire de Dieu et de toute l’histoire des hommes. La Création est l’épanchement de l’Absolu dans le devenir : la descente du « rayon céleste » dans la materia prima à travers les plans du Divin, selon l’axe polaire reliant le Ciel et la Terre ; elle est l’expansion de l’Absolu à travers la materia prima vivifiée à partir de l’Un dans le multiple. Mais au mouvement macrocosmique d’expansion de l’Esprit, répond le mouvement microcosmique de rassemblement de tous les êtres –et plus spécialement de l’être humain - vers le Centre de toutes choses et de soi-même, de même qu’au mouvement de descente de l’Esprit répond le mouvement inverse de remontée vers le haut et de l’extérieur vers l’intérieur. Résumer d’un signe la totalité du christianisme reviendrait à tracer une croix, tel est le symbole chrétien par excellence, que la fête de l’Universelle Exaltation de la vénérable et vivifiante croix célèbre comme « puissance des rois, fermeté des justes, magnificence des prêtres », et proclame à la fois « arme de paix, trophée invisible, rempart inexpugnable, épouvante des démons, porte du Paradis, sécurité de l’univers, signe lumineux parmi les astres ». La croix – faut-il le rappeler ? – se constitue d’un axe vertical et d’un axe horizontal, l’on y ajoute en Orient une traverse supérieure : l’écriteau trilingue, et une traverse inférieure : le support des pieds. Ce symbole exprime l’idée de quaternité, en laquelle saint Jérôme voyait un sens de révélation et de stabilité. Il récapitule toute la métaphysique chrétienne. Ce petit ouvrage (60 pages), s’en tient d’une part aux structures de l’Ordre divin –le macrocosme – et les degrés de sa manifestation ; d’autre part, les niveaux de l’être humain – le microcosme -, et les étapes de sa réalisation, on y découvre les étonnantes richesses de significations et d’interprétations qui recèle un symbole d’une magnifique simplicité. D’une manière générale, on peut dire que le tracé et l’intersection des différentes droites indiquent les rapports existant entre l’Absolu et le relatif, le réel et l’illusoire, l’Essence et la substance, l’Incréé et le créé, l’infini et le fini, l’Eternel et le transitoire. Ils désignent la polarité du Ciel et de la Terre, du masculin et du féminin, du Transcendant et de l’Immanent, de la Divinité et de l’humanité. Les deux axes principaux et les deux traverses secondaires délimitent et opposent ces structures et ces degrés ; mais selon d’autres points de vue, ils les relient et les unissent, les tissant ensemble en un jeu perpétuel d’échanges « sans confusion ni séparation ». Le fait d’essayer de donner des noms ou des attributs à la Déité est une gageure, l’apophatisme même ou l’aphairétisme ne convient pas à la Déité, car la négation ou l’abstraction/séparation ne résous rien déclare Maxime le Confesseur dans sa mystagogie. Dieu a une hyparxis simple, inconnaissable et inaccessible à tous, totalement ininterprétable, malgré tout, le langage humain soutient la gageure d’exprimer l’inexprimable et les procédés rhétoriques qu’il emploi sont autant de ruses pour le faire comprendre. Sur le roc vertigineux qui marque l’extrême limite du dicible et de l’indicible, le langage mène une lutte inégale et sans merci avec le logos et son au-delà, comme Jacob, au gué de Jabboq, se battit toute une nuit avec le messager divin. L’auteur nous parle longuement des sephirot et de l’arbre de vie et s’en sert pour le mettre en surimpression de la croix avec ses différents sentiers et ses divers attributs. | |||
2 D
| DÉCAPITATION  - LA DÉCAPITATION DE SAINT JEAN EN
  MARGE DES ÉVANGILES
  - Essai d’anthropologie historique et sociale | C. Gauthier | Publication de la Sorbonne | 2012 | ||
| 
 Mais
  toutes les traditions ethnographiques relatives à saint Jean décollé ne
  peuvent se résumer ainsi.  
 
 Le
  thème de Salomé dansant avec la tête de Jean est propre aux traditions du
  monde chrétien d’Orient. Ainsi, on raconte en Bulgarie qu’au cours du banquet
  d’Hérode, Salomé aurait dansé en tenant un plat sur lequel  était posée
  la tête de Jean, motif similaire à celui que l’on trouve sur les mosaïques de
  Venise. Après la danse la fille d’Hérodiade jette la tête de jean aux orties
  qui devient écarlate et immédiatement une nouvelle tête repousse au
  Précurseur, car dit-on, la première était pécheresse. Saint
  Jean, envisagé sous son aspect de martyr décapité, reste souvent méconnu. La critique
  biblique moderne à chercher à démontrer que la décapitation de saint
  Jean-Baptiste, dont le récit ne semble pas s’insérer directement dans le
  message évangélique, ne correspondait qu’à une historiette sans importance… A
  l’évidence il n’en est jamais allé de même du point de vue de la tradition
  populaire. Très vite dès les premiers siècles du christianisme, une multitude
  de croyances et de cultes placent ce thème en leur centre. Ce n’est pas
  seulement la chrétienté, d’Orient ou d’Occident, mais aussi l’islam qui ont
  associé les éléments présents dans ce récit à de nombreuses traditions. A
  Damas, dans la grande mosquée des Omeyades, est érigé un immense tombeau de
  marbre blanc, supposé détenir la tête de Jean le Baptiste. Voir aussi le livre d’Ananda Coomaraswamy : « La doctrine du sacrifice », qui parle de la décapitation. (Voir dans le chapitre 10 de la Biblio) | |||||
| DÉCAPITATION -  SYMBOLISME DE LA DÉCAPITATION DU
  ROI | Christophe Levalois | Edition Trédaniel | 1992 | ||
| 
 
 Pour
  bien comprendre ce drame et ses conséquences qui se sont déroulées et se
  déroulent dans l’invisible, il faut interroger les principes, les mythes, les
  symboles, les croyances, les idéaux et la longue durée, cela permet de
  percevoir les enjeux et les forces en présence, ainsi nous aurons une
  perception des mœurs, de la politique, de la société et des événements qui en
  découle. La
  décapitation du 21 Janvier manifeste aussi une victoire, celle des
  forces infernales qui s’emparent de la tête de la société et qui dès lors
  la dominent. On a dit avec raison, que le roi n’est mort qu’une fois, le 21
  Janvier 1793, il ne s’agit pas de la mort d’un individu ou d’un roi, mais de
  celle de la royauté et de la vision qui la sous-tend. Certes cette royauté en
  elle-même n’est pas morte, un principe ne meurt jamais, mais elle réside
  depuis lors, hors de notre monde qui lui tourne le dos, tout comme il tourne
  le dos au ciel par le même mouvement. La
  royauté est née d’une rencontre entre le monde des hommes et le ciel. Tant
  qu’il y avait un roi légitime, c'est-à-dire qui maintenait des principes
  fondamentaux et des correspondances avec le supramonde, une régénération
  était possible, mais actuellement ce n’est plus le cas, le lien avec la
  source de vie a été rompu, les hommes n’ont pas la capacité de le renouer à
  eux seuls. Aussi tout doit aller à sa fin, car seul « l’esprit vivifie » (2e
  épître aux Corinthiens III).  Privée
  de cette lumière, la société actuelle ne peut que régresser vers
  l’infra-monde et y disparaître. L’auteur développe les thèmes suivants : La décapitation du Roi et la Révolution française – les aspects de la fonction royale : La fille aînée de l’Eglise, le lien entre le monde des hommes et le monde céleste, l’image de la société en sa totalité, le roi tête du royaume, la royauté comme principe – La symbolique de la tête : la tête et le ciel, Tête de connaissance, le siège de l’autorité, Tête et sacerdoce – Les significations traditionnelles de la décapitation – L’asservissement par la tête, le changement d’état, l’œuvre au noir – De la Révolution à l’Apocalypse – La fin de la primauté du spirituel -La rupture avec le monde céleste – L’acéphalie provoque la désagrégation – L’empire funeste du temps – Le commencement du crépuscule – Le retour aux origines – La grande confrontation – « Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre » | |||||
| des contes de fÉes à l’opÉra
  – une voie royale | Amélie
  Andrée gedalge | Edition
  DERVY |  2003 | 
| Ce
  livre est un recueil d’études dont l’axe est le symbolisme initiatique. Son
  auteur, Amélie Gedalge (1865 – 1931), nous conduit dans un domaine dont elle
  a essayé de saisir le sens : « Ce que j’ai pu apprendre a été pour moi un
  monde », a-t-elle écrit. | |||
| CONTES ET OPÉRAS, UN CHEMIN D’ÉVEIL | par Amélie André-Gedalge - présenté par Irène Mainguy | Edition Dervy | 2014 | 
| Cet ouvrage est pour ainsi un complément au livre d’Amélie André-Gedalge, c’est son petit-fils André qui aidé par Irène Mainguy explique et dépoussière si besoin était, l’ouvrage de sa grand-mère avec de nouveaux textes retrouvés, une introduction biographique et bibliographique d’Irène Mainguy, le tout orné de 22 figures qui agrémentent cet ouvrage de 260 pages. Cet ouvrage est donc un recueil d’études qui a pour thème le symbolisme initiatique. Son auteur, Amélie Gedalge (1865-1931), nous conduit dans un domaine qu’elle a approfondi avec talent et enrichi par sa sensibilité d’artiste. Elle écrivait : « Ce que j’ai pu apprendre a été pour moi un monde ». Il est remarquable qu’Amélie Gedalge a su synthétiser ses recherches aussi bien sur les contes de fées que sur les opéras. Des symboles universels sont présents dans toutes les religions, philosophies, légendes, tous les contes, tous les mythes et ce dans toutes les traditions. Ils sont une source inépuisables de merveilleux dans lesquels le rêve se mêle à la réalité, ils nous permettent de nous élever dans les hautes régions de la spiritualité, en laissant apparentes les vérités sacrées pour ceux qui savent les lire. Ce livre donne de précieuses clefs pour rassembler ce qui est épars et suivre le fil d’Ariane du message des contes et des opéras. Mais qui était Amélie ? Elle née en 1865, son père est musicien et homme de théâtre, il meurt alors qu’Amélie n’a que 15 ans, elle sera élevé par sa mère Mélanie et aura une enfance solitaire et studieuse. A 19 ans elle remporte le premier prix d’harmonie et démontre très vite ses dons musicaux et baigne littéralement dans la musique, elle a d’ailleurs plusieurs prix, en même temps elle écrit des livrets et des cours complet de solfège. Elle chante également en public et fait du théâtre et de l’opéra où elle interprète Bach, Schubert, Mozart et d’autres. Le revers de la médaille est un dédoublement de personnalité qui lui occasionne des troubles, elle trouve alors l’enseignement théosophique de Madame Blavatsky en 1904 et restera dans ce mouvement jusqu’à sa mort en 1931, elle pratique également l’astrologie. Elle devient professeur de musique de grande notoriété et enseigne à l’université de saint Denis. En 1884 elle rencontre le compositeur André Gedalge et se marie en 1887, ils auront 5 enfants. Emilie est très féministe, en 1912 elle se fait initier dans une loge d’adoption sous la houlette de la Grande Loge de France puis intègre le Droit Humain qui est mixte, elle se veut libre-penseur ce qui lui donne une liberté totale pour pouvoir s’exprimer dans sa lutte contre les dogmes de l’époque, mais aussi contre l’ignorance, l’égoïsme, le sectarisme et l’intolérance. Le Droit Humain sera impacté par les idées de la théosophie car beaucoup de théosophes étaient également maçons, et c’est Annie Besant, le colonel Olcott et surtout Leadbeater qui en seront les maitres d’œuvre à partir de 1907. La théosophie prenant ses sources dans l’indouisme, le point central en sera la réincarnation et son évolution fortement influencée par le bouddhisme. Amélie rencontrera dans ces réunions des personnages comme Papus, Durville et autre Teder, les séances étaient en partie dédiées au spiritisme, aux facultés médiumniques, au magnétisme et à la théosophie. Cet amalgame loin de décourager Amélie lui donnera l’envi d’aller plus loin et d’approfondir le symbolisme de la musique et des contes de fées. Au sommaire de cet ouvrage : Eléments biographiques
  sur Amélie-André Gedalge (1865-1931) - Il était une fois - Le symbolique
  initiatique - Introduction à l’ésotérisme initiatique des contes de fées -
  Essai sur l’ésotérisme initiatique des contes de fées - L’ésotérisme des
  contes des Mille et Une nuits - Essai sur le pouvoir éducateur de la musique
  - La traduction du fantastique et du merveilleux dans l’histoire de la
  musique - La flûte enchantée de Mozart - L’ésotérisme d’Oberon de Weber - La
  Table d’Emeraude - Dictionnaire Rhéa -  | |||
| DICTIONNAIRE  AMOUREUX DES TRAINS | Jean
  des Cars |  Edition Plon |  2006 | ||
| 
 De
  Labiche à Zola, d’Hitchcock à Truffaut, les trains du mystère, du drame et de
  l'amour sont l'univers favori de l'auteur. De la vapeur au TGV, il enchantera
  votre lecture. Un livre raconté par un écrivain qui, comme son
  arrière-grand-père, ne peut voir partir un train sans être du voyage. Dès
  la Révolution Industrielle, le train s'est imposé dans le quotidien des
  sociétés, pour des raisons pratiques évidentes. Il s'est tout aussi
  facilement imposé dans l'imaginaire de tout individu, donc dans l'imaginaire
  collectif, comme représentation symbolique. Initialement, machine à vapeur et
  de feu, tractant une cohorte de wagons, la locomotive et son train
  matérialisent un tournant majeur dans l'histoire des sociétés et de
  l'individu. Les hommes ont de suite été fascinés et effrayés de ces engins
  crachant le feu. C'est ainsi que le train a supplanté le dragon dans les
  songes. Il appartient de fait aux symboles dits de substitution.    Symboliquement,
  le train, dans son ensemble, figure autant le déroulement de sa propre vie
  que sa trame, signifiée par le réseau du chemin de fer fait de rails, de
  croisements et d'entrecroisements. En effet, l'individu, bien que spécifique
  et particulier par rapport à un autre, n'évolue qu'en fonction des autres,
  d'où le concept de trame pour figurer l'existence, de plan préétabli,
  puisqu'il est issu d'une contrée, d'une famille, d'une culture,… et ne
  serait-ce que parce qu'il est né garçon et non fille, noir et non blanc ou
  jaune, à tel endroit plutôt qu'à tel autre, à telle époque plutôt qu'à une
  autre… On
  est tous contraints d'accepter et de reconnaître que son individualité est de
  fait limitée, puisqu'il y a une nécessaire interaction avec autrui, avec le
  contexte extérieur. On n'est jamais seul dans un train, c'est un moyen de
  locomotion destiné à servir le collectif. Des individus, certes très
  différents des uns et des autres, et qui ne se connaissent pas, y sont
  rassemblés, mais ils ont tous un point commun: ils ont décidé sans se
  concerter de se rendre à un même lieu (gare d'arrivée), d'atteindre une même
  destination. Pour préciser, retenons que la voie ferrée, les rails, sont associés au
  parcours, à la destinée, le
  train, lui, avec sa locomotive, ses wagons, évoque les conditions
  de l'existence, le contexte dans lequel un être évolue. Mais il figure aussi
  l'être lui-même avec ses objectifs, ses projets | |||||
| dragons – Histoire, mythes et reprÉsentations | Dr
  Karl shuker | Edition
  Solar |  1997 | ||
| 
 
 Chapitre 2 : Semi-dragons : la
  fiancée de lindorm  -  le combat de Siegfried et de Fafnir 
  -  Maud et la wyverne  -  Marduk et les monstres de
  Tiamat  -  le mystérieux tatzeworm  - Chapitre 3 : Dragons classiques :
  Saint Georges et le dragon  -  la fin honteuse du dragon de Wantley 
  -  Gare au bunyip  -  le dragon-oiseau de l’Illinois 
  -  Sirsh, le dragon de Babylone  -  le dragonnet du mont
  Pilate  -  les dragons vivants de Komodo et de
  Nouvelle-Guinée  - Chapitre 4 : Dragons célestes :
  Amphiptères et serpents ailés  -  Quetzalcoatl, le serpent à plumes
  du Mexique  -  les dragons –dieux de la Chine  -  oiseaux
  de tristesse, dragons de détresse  -  les serpents ailés du pays de
  Galles  - Chapitre 5 : Néo-dragons :
  du basilic au cocatris  -  Sainte Marthe et la Tarasque 
  -  la Velue  -  Héraclès et l’Hydre de Lerne  - 
  Salamandre et pyrallis  -  longs-cous et lézards de mer 
  -  les dragons du futur  - | |||||
2 E
| ÉSOTÉRISME
  ET SPIRITUALITÉ MAÇONNIQUE | J.
  LHOMME – MAISONDIEU et  | Edition
  DERVY |  2002 | 
| Un
  grand voyage au pays des origines de la F.M et des écoles de spiritualité Salomon
  n’est pas mentionné dans les annales mésopotamiennes. La tradition
  phénicienne est légendaire, Salomon aurait vendu à l’Etat Tyrien la ville de
  Khorbat Khozli et la Plaine d’Acre pour 120 talents d’or, et aurait eu
  recours au professionnalisme d’un bronzier tyrien, Hiram (cf Bible, 1R7,
  15-47). Les relations avec l’Egypte, qui de toute façon, à l’époque, était la
  puissance dominante, et Salomon dut accepter de se placer dans l’orbite
  politique de ce pays qui imposait la pax egyptica, sont relevées dans la
  Bible uniquement, même le mariage de Salomon avec la fille du Pharaon Siamoun
  (976-954) de la XXe dynastie. Une trace littéraire cependant, les Cantiques
  des Cantiques, ou chant de Salomon à la Soulamite parait influencée par les
  poèmes d’amour égyptiens de la XVIIIe dynastie (autour de 1500 avant J.C.).
  Quant au Yémen et à la Reine de Saba, les Sabéens commenceront à être connus
  hors de leurs frontières au VIIIe siècle avant J.C. seulement. On
  y trouve, la symbolique du temple de | |||
2 H
| hergÉ chez les initiÉs | Jacques
  fontaine | Edition derVy |  2001 | ||
| 
 Enfin "une lettre d'un Franc-maçon à
  l'un de ses frères" donne le point d'orgue de chaque chapitre. C'est
  ainsi que les pages défilent, profondes et vibrantes. Les lecteurs d'Hergé,
  les initiés, les amateurs de grandes histoires, trouvent ici des motifs pour
  lire et relire avec jubilation les aventures de Tintin, du capitaine Haddock
  et de Tournesol. Hergé sait,
  certes, raconter des histoires et dispose de qualités graphiques géniales. Il
  sait donner de l’épaisseur à ses récits et inventer des personnages, autour
  du héros principal. Hergé est l’inventeur de la « ligne claire »,
  qui consiste à contenir d’un trait de largeur constante des aplats de
  couleurs franches. Mais l’explication ne suffit pas : l’ésotérisme règne
  donc dans les aventures de Tintin. Les mythes, les symboles, les rites s’y
  déploient. Hergé était fasciné par l’œuvre de Jung, pour lequel l’inconscient
  n’est que le reflet de vérités intérieures. On peut presque imaginer qu’Hergé
  a volontairement disséminé des signes, leur donnant du sens. Les héros
  Haddock-Tintin-Tournesol, ces trois personnages cohabitent chez Hergé.
  Haddock tout d’abord : agité, aveugle, avec des défauts (braillard et
  sans écoute de l’autre), il suit Tintin, contre son gré dans chaque aventure
  qui est pour lui une initiation, une découverte. Tintin cherche à améliorer
  l’humanité, agit avec les autres, est toujours en action, en voyage, et en
  questionnement permanent. Il se met en danger pour les autres. Tournesol,
  dont le nom est lié au soleil donc au divin, est dévolu à la réflexion. Il
  n’a plus d’illusions, vit dans son monde à lui, rayonne d’intelligence et de
  sagesse. 
 Hergé
  injecte désormais, dans ses histoires, une cohérence symbolique : un
  héros, un faire-valoir, des personnages bien campés ; la quête d’un
  trésor, d’un Graal. Concentrons-nous sur Le Secret de la Licorne, le Trésor
  de Rackham le Rouge, et les 7 Boules de Cristal suivi du Temple du Soleil. La
  structure des quatre albums est faite d’une énigme, d’un voyage, d’un trésor.
  Cela évoque les initiations : l’impétrant est d’abord confronté à
  l’obscurité, loin des siens : bois sacré chez les africains, chapelle
  pour le chevalier. Puis à des voyages, lors de ses initiations, puis à la
  découverte d’un trésor, souvent caché au fond de lui-même : c’est le
  retour sur soi, comme le trésor de la Licorne était finalement caché dans le
  château, alors que Tintin a fait le tour du monde pour le trouver : le
  secret de soi se trouve en soi !0, A la fin du « Trésor de Rackham
  le Rouge », Tournesol entre dans la crypte du château de Moulinsart,
  acquis grâce à ses inventions. Il marche vers le trésor avec son pendule, en
  franchissant solennellement un portail comme on franchit les portes lors
  d’initiations. On retrouvera une autre évocation du temple, à la fin du
  « Temple du Soleil ». La voûte et la croix sont également deux
  symboles qui reviennent beaucoup dans ces deux albums. Les « 7
  boules de Cristal » et le « Temple du Soleil » procèdent du
  même registre. Sept boules de cristal, dont la couverture est un carré,
  associé à la terre et au chiffre 4, surmonté d’un cercle de feu, le ciel,
  associé au chiffre 3 (4+3=7). La composition évoque aussi une élévation vers
  le ciel. Tournesol en est le Maître. Dans cet album, Tintin monte également
  les 7 marches qui montent à l’autel du Temple du Soleil après avoir franchi 7
  vallées. L’alliance de l’ombre et de la Lumière est partout présente dans le
  « Temple du Soleil », jusqu’à l’éclipse finale. « Le soleil ni
  la mort ne peuvent se regarder en face », disait Pascal : Tintin
  ose pourtant le faire, à la fin du « Temple du Soleil », comme s’il
  était mûr pour l’ultime initiation, la rencontre de la mort et du soleil. L’œuvre
  d’Hergé est universelle parce qu’elle contient des symboles, des mythes (le
  mythe universel du héros), du sens. Mettre du sens dans un récit, dans un
  groupe humain, dans sa vie, dans sa tête, c’est déjà accéder à l’universel.
  Hergé a interdit à quiconque de poursuivre son œuvre... Pourquoi ?
  Alors, qu’il aurait aimé continuer à raconter de belles histoires, comme tant
  d’autres scénaristes et dessinateurs ? Et pourquoi également ne
  ressent-on pas cette unité et cette universalité dans les imitations
  posthumes d’Hergé, même quand celles-ci sont très bien dessinées ? La
  preuve qu’Hergé est le seul à détenir le secret symbolique... des aventures
  de Tintin ? | |||||
2 I
| INITIATION ET CONTES DE FÉES - Une évocation des cheminements initiatiques dans les contes populaires d’Europe | Bernard Roger | Edition Dervy | 2013 | 
| Si l’humour de la « langue des oiseaux » permet de remarquer, non sans justesse, que les contes de fées sont aussi des « contes de faits », il convient de préciser que le domaine du réel où ces faits trouvent leur place n’est pas celui dans lequel évolue notre commune logique de l’état de veille. Leur univers est celui du désir, dans le sens le plus élevé du mot qui, de par son étymologie, évoque la quête intense d’une étoile perdue ; et ces faits savent prendre des couleurs diverses, selon celle de l’étoile que chaque auditeur de conte, souvent sans en avoir conscience, cherche en lui-même. La présente étude s’attache au sens des faits qui, dans certaines de ces « histoires du temps passé », parlent, à leur façon et sans dévoiler davantage à ceux qui les disent qu’à ceux qui les écoutent, de l’initiation traditionnelle dont les principes et l’objectif se retrouvent autant dans la pratique de l’alchimie que dans celle de la Franc-maçonnerie. Sous les images des personnages qu’elle met en scène et sous les récits de leurs aventures, la Mère l’Oie transmet ainsi, dans le silence, des secrets concernant les étapes du Grand Œuvre comme celles de l’initiation maçonnique. Le lecteur partira ainsi à la découverte de ces étapes dans la succession des péripéties de 81 contes merveilleux et pleins d’enseignements, avec plusieurs niveaux de lecture qui permettent à chacun de pouvoir voyager, sur son propre véhicule. Ces contes font partie du vivier des Frères Grimm ainsi que d’Emmanuel Cosquin, puis de divers enquêteurs qui, au milieu du XXe siècle prospectèrent et recueillirent dans les campagnes ces contes, ultimes mémoires de la tradition. Au sommaire de cet ouvrage : Chapitre 1 : Les
  contes :  Chapitre 2 :
  L’Initiation :  Chapitre 3 : Les
  étapes : Chapitre 4 :
  V.I.T.R.I.O.L., ou la Porte du Temple :  Chapitre 5 : Les
  chemins du V.I.T.R.I.O.L.  Chapitre 6 :
  Lumière : | |||
| initiation et sagesse des contes de
  fÉes | Dennis
  boyes  | Edition Albin Michel  |  1996 | ||
| 
 | |||||
| INITIÉS, SYMBOLISME et LIEUX MAGIQUES | Guy
  TARADE | Edition
  RAMUEL |  2000 | 
| Lorsque
  vous aurez ouvert ce livre vous ne le refermerez plus. Un enchantement dans
  les méandres d’un Dans
  le centre médiéval de Gérone, juste en dessous de la Cathédrale, on découvre
  un entrelacs de petites rues pavées aux ombres sombres, des balcons étroits
  et des arches invitantes. Promenez-vous dans le Call Jueu, l'ancien
  quartier juif. S'il reste aujourd'hui bien peu de ce centre névralgique que
  constituaient cet entrecroisement de ruelles et sa multitude de synagogues au
  Moyen-Âge (les lieux de cultes ont été détruits et les maisons ont disparu),
  ce clair-obscur composé d'impasses et de petits escaliers stimule facilement
  l'imagination.  On
  est sur les pas de R .Lulle, des Templiers de Lluch, Avignon, la Camargue,
  l’île d’Elbe. Un
  livre inestimable. | |||
| ITINÉRAIRES
  DES DANSES MACABRES | H
  et B. UTZINGER | Edition
  GARNIER |  1996 | ||
| 
 Conséquence
  des épouvantables malheurs du XIVe siècle, conséquence du développement
  monacal, d’un mépris du monde au regard de la vie éternelle, sa diffusion va
  être considérable. Vers la deuxième moitié du XVe siècle, elle deviendra un
  thème universel en même temps qu’une véritable mode, mode que Paris a lancée
  dans deux directions : celle de la peinture avec le charnier des
  Saints Innocents au moment du carême en 1424 et celle de la gravure sur
  bois à partir de 1485 avec Guyot Marchand. Cette
  mode dans toute l’Europe durera cinq  siècles, avec à partir du XVIIe
  siècle une disparition de son caractère médiéval. Le style va changer, la
  forme va se modifier et la danse macabre moyenâgeuse qui fustigeait le
  matérialisme va laisser la place à un symbolisme de la mort pure et de son
  au-delà. Est
  expliqué avec de très nombreuses gravures : Philosophie de la mort, les cavaliers de l’Apocalypse, les
  épidémies, les famines, les maladies, les guerres, les prémices de la danse
  macabre avec Boèce, Thibault de Marly, Innocent III, Gerson, la bibliothèque
  Mazarine, la peste, l lanterne des morts, le livre
  d’heures, les cartes à jouer et la lame XIII du tarot, les Saints Innocents,
  le triomphe de la mort, Ars moriendi, Savonarole, le mors de la pomme, la
  danse des aveugles, le Bar-sur-loup, les loups ravissans, le laboureur de
  bohême, Georges Chastelain, l’Ankou, Jean de Castel, François Villon, les
  vanités, Rosslyn chapel en Ecosse, le Grand Bâle en Suisse, Simon Marmion, La
  Chaise-Dieu, Albi, Strasbourg, Beram en Croatie, Clusone en Italie, Côme,
  Berlin, Pisogne, Kermaria, Berne, Inkoo en Finlande, Denis Catin, Carisolo,
  l’alphabet de la mort, Rouen, Dresde, Newark, Brianny, Angers, Coire,
  Constance, Cherbourg, Fribourg, Lucerne, Avrieux, Erfurt, salzbourg, le
  travail de la mort, Bergame, Elmen, Louis Jou, Amiens, Avignon, Bayonne,
  Binche, Coupiac, Dijon, Ferrare, Lisbonne, Ulm, la satire sociale, l’égalité
  des hommes et des femmes, l’ironie, le récitant, aspects moraux, la danse
  macabre et la musique, le péché originel, l’enfer, le purgatoire, la
  pourriture, la résurrection, le contemptus mundi, la danse macabre de
  Berne………… | |||||
2 J
| jeux initiatiques à l’aube du verseau | Atlantis Automne 1990 | Revue Atlantis N° 363 |  1990 | ||
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 Sissa demande juste un peu de blé.
  Il invite le souverain à placer un grain de blé sur la première case d’un
  échiquier, puis deux sur la deuxième case, quatre grains sur la troisième,
  huit sur la quatrième, et ainsi de suite jusqu’à la soixante-quatrième case
  en doublant à chaque fois le nombre de grains. Cette demande semble bien
  modeste au souverain fort surpris et amusé par l’exercice. Mais le roi n’a jamais
  pu récompenser Sissa : tout compte fait, il aurait fallu lui offrir non pas
  un sac, mais 18 446 744 073 709 551 615 grains… soit la totalité des moissons
  de la Terre pendant environ cinq mille ans ! Légendes médiévales : À
  partir du XIIIe siècle, la pratique du jeu d’échecs est devenue courante en
  Occident. Des joueurs éclairés ont voulu assurer au “roi des jeux” le
  prestige et la légitimité de la haute Antiquité. De nombreuses fables et
  légendes ont alors circulé. Sachant que le jeu provenait d’Orient, certains
  ont imaginé le roi Salomon jouant aux échecs pour éblouir la reine de Saba.
  D’autres, le philosophe Xerxès offrant au roi de Babylone Evilmodorach ce jeu
  de guerre pour apaiser sa folie meurtrière. De plus avisés, remarquant que la
  Bible ne fait pas mention des échecs, leur ont trouvé un “inventeur” dans le
  monde grec en associant deux illustres personnages qui faisaient déjà
  beaucoup rêver : Aristote aurait ainsi instruit le jeune Alexandre le Grand… Palamède, mythe de la société
  courtoise: Une dernière légende remonte à la mythologie : Palamède, héros de
  L’Iliade et grand rival d’Ulysse, aurait inventé les échecs pour divertir
  l’armée grecque alors que le siège de Troie s’éternisait. Célèbre pour son
  intelligence, le Palamède grec reste celui auquel de nombreuses inventions
  sont attribuées : l’alphabet, les nombres, la monnaie, les dés ou encore le
  jeu de dames… alors remplacé par celui des échecs. Palamède, c’est aussi le
  nom d’un chevalier de la Table ronde qui occupe une place importante dans la
  littérature courtoise du XIIIe siècle. Jouant sur l’homonymie avec le héros
  grec, la légende du roi Arthur fait de ce chevalier Palamède, fils du sultan
  de Babylone mais converti au christianisme, l’instructeur de ses compagnons
  d’armes avec ce jeu qu’il a rapporté d’Orient. Ce Palamède devient
  l’inventeur “idéal” du jeu d’échecs pour la société médiévale : il concilie
  fable avec de réelles origines orientales et pense le jeu comme un parcours
  initiatique qui s’inscrit dans la quête du Graal. Chevalier au mérite d’avoir
  livré le “plus noble des jeux”, Palamède est représenté avec des armoiries
  “échiquetées d’argent et de sable”, c’est-à-dire en damier noir et blanc. En
  s’appropriant le jeu, la société médiévale crée son propre mythe : pour de
  nombreux joueurs, Palamède demeurera “l’inventeur des échecs” jusqu’au… XIXe
  siècle  Au sommaire : Jacques
  d’Arès et son éditorial Pierre
  Meinsohn : Jeu d’échec, jeu de la vie Augustin
  Berger : L’échiquier comme représentation d’un diagramme cosmique Francis
  Meinsohn : le jeu d’échec, voie initiatique méconnue Marcel
  Spaeth : Variations insolites sur les échecs Claudius
  Barrat : Notre jeu d’échecs : Une stratégie géospirituelle du
  Verseau Augustin
  Berger : Le noble jeu de l’oie François
  Garagnon : Le jeu de Go : l’initiation à l’art de la guerre Lucien
  Carny : Le jeu de la marelle Chronique
  des revues  - Miroir
  des chercheurs et des curieux | |||||
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